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Interview extra – Stephen Amell – Arrow
Une nouvelle série en huit épisodes basée sur les bandes dessinées de Green Arrow suit la bonne fortune (au sens propre) du millionnaire Oliver Queen qui, après avoir été abandonné sur une mystérieuse île pendant cinq ans, rentre chez lui, déterminé à utiliser les nouvelles compétences qu'il a acquises en tir à l'arc pour combattre le crime. TV Choice s'est entretenu avec la star Stephen Amell.
Les cascades sont spectaculaires dans Arrow. Est-ce que ça prend longtemps pour tourner ces scènes ?
Hum, oui ! Notre coordinateur de cascades JJ et notre coordinateur de combats James Bamford – il est surnommé Bam Bam à juste titre – ont un véritable don pour trouver des solutions pratiques afin de faire les choses qui sont en droite ligne avec le ton de la série. Et quand ils m'ont enseigné, la première chose sur laquelle ils se sont concentrés ce n'est ni la complexité des mouvements, ni la sécurité du combat, mais l'intention qui se trouve derrière. De la même manière que je me serais préparé pour une scène dramatique, ils m'ont aidé à me préparer pour les scènes de combat. Et je pense qu'au-delà de la chorégraphie, le fait qu'il y ait une intention derrière et que ce ne soit pas juste de l'action pour de l'action, c'est ce qui les distingue.
Qu'entendez-vous par 'intention' ?
Et bien, il y a toujours une raison de se battre – on ne se bat pas juste pour se battre. Vous avez, s'il n'y avait pas une bonne raison alors vous partiriez en courant. Et donc ils m'enfoncent toujours dans le crâne 'Quand tu cognes ce gars ou bien que tu donnes un coup de pied à cet autre gars, tu le fais pour cette raison.' Ça n'a pas toujours besoin d'être rapide. Quelquefois, ça peut être lent et ça n'a pas toujours besoin d'être méthodique. Parfois ça peut être basique. Ça influence le combat d'une bonne manière.
Quand vous vous êtes présentés pour ce rôle, vous ont-ils dit au départ qu'ils voulaient que vous fassiez autant de scènes d'action ? Ou bien est-ce quelque chose qu'ils ont développé quand ils se sont rendus compte de ce que vous pouviez faire ?
Un petit peu les deux. Il y avait une séquence amusante où je me suis rendu, j'ai auditionné pour David Nutter qui a réalisé le pilote, notre directeur de casting et deux des producteurs, et quand ce fut terminé j'étais confiant et suffisamment enhardi pour poser des questions. 'Comment vous les gars, envisagez-vous la série ?' C'est ensuite que j'ai réalisé que ce que j'avais en tête était en droite ligne avec ce à quoi ils avaient pensé, ce qui était un scénario sympa. Quand j'ai commencé à m’entraîner, ils se sont rendus compte de ce que je pouvais faire et ils ont commencé à me demander d'essayer de faire certains trucs. Ils pensaient probablement que j'avais été arrogant lors de l'audition, disant juste ce qu'il fallait pour avoir le rôle. Mais je ne l'avais pas été. Je me rappelle leur avoir dit 'Je veux faire des choses physiques.' Vous savez, pendant que je suis encore jeune et que je n'ai pas de blessures et tout ce genre de choses. Je veux repousser mes limites et essayer des choses.
Ça va être épuisant, n'est-ce pas, tout au long de la série ?
Et bien, oui. La différence qu'il y a eu à intégrer la série c'est que j'ai eu à peine un mois de préparation avant l'épisode pilote. Maintenant nous sommes sur un rythme épisodique, nous avons moins de temps pour tourner les épisodes et malheureusement, comme je travaille tout le temps, il y a des moments où je ne peux pas venir ici et m’entraîner suffisamment et donc tourner la scène ne serait pas sans danger. Ça a été difficile pour moi à certains moments mais, de la même manière que je fais confiance à nos réalisateurs, à notre équipe de cameramen et à aux producteurs, je fais extrêmement confiance à Simon Burnett, ma doublure cascadeur, et à James Bamford et JJ – sachant que ces gars se battront pour m'impliquer dans quelque chose s'ils pensent qu'ils en ont besoin. S'ils ne peuvent pas, ils ne peuvent pas. C'est tout simplement la logistique de la télévision.
Vous devez être pragmatique.
Oui. Et ils ont raison. Il y a quelques années, pendant le pilote (avorté) de Wonder Woman, la vedette Adrianne Palicki s'est foulée la cheville malencontreusement et ils ont dû arrêter la production. Et donc ils doivent être prudents, je comprends. Ça ne veut pas dire que j'aime ça, mais je comprends.
Graham Kibble-White – TVChoice – 16 octobre 2013
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Crédit traduction : Locksley pour Arrow-Hypnoweb