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#107 : Femme fatale

Oliver rencontre une mystérieuse jeune femme, Helena Bertinelli, fille du patron de la pègre, Frank Bertinelli, avec qui il peut enfin se montrer lui-même mais il ne tarde pas à se rendre compte qu'elle cache elle aussi un dangereux secret. Helena mène sa propre mission de vengeance personnelle et Oliver est pris au milieu. Pendant ce temps, Tommy est pris au dépourvu par une malheureuse tournure des événements et se tourne vers Laurel pour tenter de trouver du soutien.

Méchant de l'épisode : Personnage de La Liste : Franck Bertineli, Nick Salvati

Popularité


4.17 - 23 votes

Titre VO
Muse Of Fire

Titre VF
Femme fatale

Première diffusion
28.11.2012

Première diffusion en France
22.10.2014

Vidéos

Promo CW

Promo CW

  

Photos promo

Oliver et Helena capturés

Oliver et Helena capturés

Oliver Queen

Oliver Queen

Helena Bertinelli (Jessica De Gouw)

Helena Bertinelli (Jessica De Gouw)

Helena Bertinelli (Jessica De Gouw)

Helena Bertinelli (Jessica De Gouw)

Helena Bertinelli

Helena Bertinelli

Helena Bertinelli

Helena Bertinelli

Oliver Queen (Stephen Amell)

Oliver Queen (Stephen Amell)

Helena Bertinelli (Jessica De Gouw)

Helena Bertinelli (Jessica De Gouw)

Oliver en costume d'Arrow

Oliver en costume d'Arrow

Arrow (Stephen Amell)

Arrow (Stephen Amell)

Helena Bertinelli (Jessica De Gouw)

Helena Bertinelli (Jessica De Gouw)

Oliver Queen (Stephen Amell)

Oliver Queen (Stephen Amell)

Oliver et Helena à un dîner en tête à tête

Oliver et Helena à un dîner en tête à tête

Diffusions

Logo de la chaîne TF1

France (inédit)
Mercredi 22.10.2014 à 23:20
2.20m / 23.6% (Part)

Logo de la chaîne The CW

Etats-Unis (inédit)
Mercredi 28.11.2012 à 20:00
3.74m / 1.3% (18-49)

Plus de détails

Réalisation : David Grossman

Scénario : Andrew Kriesberg, Geoff Johns & Marc Guggenheim

 

Guest Stars :

Colin Salmon ... Walter Steele
Jessica De Gouw ... Helena Bertinelli (The Huntress)
Jeffrey Nordling
... Frank Bertinelli
John Barrowman ... Malcolm Merlyn
John Cassini ... Mr Russo
Kelly Hu ... China White
Tahmoh Penikett ... Nick Salvati
Roger R. Cross ... Detective Lucas Hilton

A Starling City, Oliver part chercher sa mère pour le déjeuner. Au Queen Consolidated - entreprise des Queen - Moira se fait tirer dessus par un motard sous les yeux d'Oliver. Heureusement, c'est une autre personne avec qui elle parlait qui a été touchée, elle n'a rien. Oliver se met à la poursuite, à pied, du motard, qui finalement s'échappe.

A l'hôpital, Moira dit se sentir bien, même si elle n'a aucune nouvelle de Walter. Le docteur les informe qu'elle pourra sortir le soir même. Oliver sort dans le couloir et croise sa soeur. Thea lui en veut d'avoir laissé leur mère seule encore une fois, Oliver prétend avoir voulu prendre la plaque d'immatriculation. Thea sait très bien qu'il ment. La police arrive, Lance explique à Oliver que le motard est lié à la mafia, que Moira n'était finalement pas la cible.

Chez Laurel, Tommy arrive avec un dîner en main, elle accepte qu'il entre. Dans la soirée, il lui demande de sortir avec lui, mais cette fois-ci de manière plus sérieuse dans un vrai restaurant.

A la planque, Oliver s'entraine sans relâche. Puis il expose à Diggle la véritable cible qui n'était pas sa mère, c'était un certain Paul Copani, il travaille pour Bertinelli Construction, donc pour Franck Bertinelli, un parrain de la mafia. Pour attraper le coupable, Oliver pense s'inflitrer au sein de cette mafia pour tuer le motard.

Dans un entrepôt, le motard s'avère être une jeune femme, elle a une sorte de tableau de chasse.

Chez les Queen, Oliver demande à Thea de rester avec sa mère pendant la soirée alors qu'elle voulait se rendre en discothèque. Elle acquiesce malgré tout. Tommy rend visite à Oliver pour lui annoncer que les choses deviennent sérieuses entre lui et Laurel. Oliver se rend chez les Bertinelli. Moira et Thea discutent d'Oliver et de ses mensonges.

Chez les Bertinelli, Franck Bertinelli parle du contrat avec le Queen Consolidated et présente son associé à Oliver. Mais il doit se rendre à une réunion, et Helena - sa fille - souhaite sortir, et elle ne veut pas d'un garde-du-corps. Franck dit finalement à Oliver qu'Helena va prendre le relais de leur discussion pendant un dîner. Les deux jeunes gens ne sont pas très enthousiastes.

La Triade chinoise rencontre Franck Bertinelli, il les accuse de tuer ses hommes. Or la Triade n'est pas à l'origine des meurtres. Franck ne sait pas qu'il est écouté par la police, il faut que ces derniers trouvent très vite le coupable avant que cela ne déclenche une guerre.

Durant cette même soirée, dans un restaurant nommé Russo, Oliver et Helena sont à table. Elle connaît visiblement l'histoire d'Oliver, ses cinq années sur l'île, elle lui demande s'il n'était pas heureux d'être à l'écart de sa famille, de la pression. Oliver avoue s'être senti plus d'une fois libre sur cette île.

Dans un restaurant indien, Laurel et Tommy finissent de dîner. Laurel apprécie sa soirée. Lorsque le jeune homme donne sa carte de crédit, le serveur lui dit qu'elle a été refusée et qu'il doit la confisquer.

Oliver et Helena n'en finissent pas de discuter. Helena explique qu'elle a été fiancée, mais il est décédé. Finalement, les jeunes gens se disent très heureux d'avoir passé une soirée avec quelqu'un qui comprend les épreuves de l'autre.

Dans la chambre de Moira, l'homme qu'elle voit régulièrement lui rend visite. Il veut que leur amitié soit la même qu'entre lui et Robert. 

Oliver appelle Diggle, qui lui dit que le propriétaire de Russo - le propriétaire et le nom du restaurant - va être la prochaine cible de Franck. Il retourne donc au restaurant. Savalti, le bras droit de Franck, accompagné d'autres hommes, sont déjà au restaurant, il demande à Russo de payer ce qu'il doit à la mafia. Arrow intervient, il les combat et le motard arrive lui aussi. Oliver s'attaque donc également au motard, puis en brisant son casque, il découvre qu'il s'agit d'Helena.

A la planque, Diggle voit bien comment Oliver se soucie d'Helena, c'est une meurtrière, mais le jeune homme n'est pas du même avis, elle avait des raisons.

Du côté de la police, en revisionnant la caméra du restaurant, Lance découvre qu'Oliver y était en rendez-vous. Il lui rend alors une visite dès le lendemain. Il vient le mettre en garde contre les Bertinelli.

Chez les Merlyn, Tommy parle de ses problèmes de finance causés par son père, Malcolm Merlyn - l'homme que voit Moira. Il lui dit que son fils doit apprendre à se gérer seul sans son argent.

Dans un cimetière au pied d'une église, Helena se recueille sur la tombe de son fiancé. Oliver tente de mieux la comprendre en vain. Ils se font kidnapper par Savalti. Il a su que c'était elle en retrouvant son collier, perdu pendant la bagarre, au Russo. Dans un entrepôt, les jeunes gens sont attachés contre une chaise. Helena avoue que l'ordinateur sur lequel il y avait des preuves contre lui et son père était le sien, et que son fiancé est mort par sa faute. Salvati finit par lui dire que c'était lui qui était chargé de tuer Micheal - le fiancé d'Helena - puis il prend son pistolet et le pointe contre la fille.

Oliver réussit à se détacher, il combat les autres hommes, tandis qu'Helena se libère et tue Salvati. Elle lui donne comme raison qu'elle veut garder sa double identité anonyme.

Au poste de police, ils cherchent un moyen d'arrêter au plus vite les meurtres.

Chez Laurel, Tommy lui explique qu'il n'a plus d'argent, que son père lui a coupé les vivres. Laurel lui propose de vivre avec elle, même sans argent.

Walter revient vers Moira, car elle a eu cet accident mais aussi car c'est sa femme. Thea dit à Oliver qu'elle s'inquiète pour lui, qu'il doit vraiment parler de son secret à quelqu'un.

Oliver se rend chez Helena. Elle dit qu'elle sait qu'il est le justicier et qu'il défend son obsession tout comme elle. Tous les deux se rapprochent et ils s'embrassent.

                                                                             ARROW
                                                                           SCRIPT VF
                                                                     Episode 1X07

                                                       « FEMME FATALE » (Muse Of Fire)

[FLASHBACK SUR L’ÎLE]

VOIX OFF D’OLIVER : Je m’appelle Oliver Queen. Je suis resté 5 ans sur l’île où j’ai échoué, avec un seul but, survivre.

Le présentateur du journal Tv : Oliver Queen est vivant.

VOIX OFF D’OLIVER QUEEN : Maintenant je vais accéder à la dernière volonté de mon père. Me servir de la liste de nom qu’il m’a laissé, et faire tomber les personnes qui gangrènent ma ville. Pour le faire, je dois devenir quelqu’un d’autre. Je dois devenir quelque chose d’autre.

Précédemment.

VOIX OFF DU MEDECIN : L’Oliver que vous avez perdu n'est peut-être pas celui qu'on a retrouvé.

DIGGLE : Quand tu étais coincé sur cette île à échafauder ton plan pour sauver la ville de Starling, je ne crois pas que tu as envisagé l’impact que cela aurait sur les gens de ton entourage.

OLIVER : Tu as tort. Ne pas pouvoir dire la vérité à ma famille. Il n’a personne à qui cela fasse plus de mal qu’à moi.

Oliver avec sa mère au manoir.

OLIVER : Je t’ai fait une promesse, que je n’ai pas pu tenir.

MOIRA : Après qu’on m’a accordé le miracle de retrouver l’enfant que j’avais perdu. Celui-ci prête fort peu d’intérêt au fait de me dire la vérité.

THEA : Tu vas devoir t’ouvrir à moi Oliver. Tu vas devoir t’ouvrir à quelqu’un.

STARLING CITY

Oliver roule sur sa moto. Il s’arrête au milieu de la route lorsqu’il entend son téléphone. Il enlève son casque et décroche.

C’est Thea qui l’appelle.

OLVER : Allo.

THEA : Salut. Maman m’a dit de te rappeler que tu devais aller la chercher pour déjeuner.

OLIVER : J’étais censé déjeuner avec elle aujourd’hui ?

THEA : Elle m’a dit qu’elle t’avait laissé au moins cinq messages. Aller prend sur toi et avale une salade vite fait avec notre maman.

OLIVER : Franchement parfois j’ai du mal à me rappeler laquelle de vous deux est ma mère.

Sur le trottoir, devant Queen Consolidated. Moira discute avec un homme.

MR COPANI : Madame Queen. Tout ce que je vous demande, c’est de prendre un moment pour discuter de notre proposition. Mmm...

MOIRA : Si ce n’est que ça je vais nous éviter une perte de temps à tous les deux. Je la décline.

MR COPANI : Très bien ! Est-ce que je peux savoir pourquoi ?

MOIRA : Ai-je vraiment besoin de vous répondre Mr Copani. Maintenant je vous prie de m’excusez, j’ai rendez-vous avec mon fils, pour déjeuner.

Oliver est arrivé et s’est garé avec sa moto le long du trottoir. Il fait signe à sa mère. Lorsque soudain il entend un crissement de pneus. Il se retourne et s’aperçoit que la moto arrive à toute allure fonçant sur le trottoir où se trouve Moira. Oliver voit que le motard sort une arme.

OLIVER : Couchez-vous !

Mais trop tard, le motard à tirer sur monsieur Copani, lorsqu’il s’écroule Moira s’effondre aussi au sol et se cogne la tête. Oliver se précipite vers sa mère.

OLIVER : Maman ! Ça va ?

MOIRA : Oui, ça va !

OLIVER : Tu es blessée ?

MOIRA : Non. Oh mon dieu. Dit-elle en voyant à côté d’elle le corps sans vie de Mr Copani.

OLIVER : Tu es sûr que ça va ? Tu es vraiment sure ? Appeler les secours !

MOIRA : Je vais bien.

Oliver s’étant assuré que sa mère n’était pas blessée, se met à poursuivre à pied le motard. Quelques mètres plus loin il prend dans une ben à ordure une baramine de fer, qu’il envoie dans la direction des roues. Il rate son coup et le motard s’enfuit. La poursuite s’arrête là, Oliver est bloqué par un camion qui vient d’arriver sur les lieux de la poursuite.

                                        *****************GENERIQUE****************

HÔPITAL DE STRALING CITY LA NUIT.

Chambre de Moira. Le docteur examine les yeux de Moira. Oliver arrive dans la chambre.

OLIVER : Bonjour.

LE DOCTEUR : Bonjour.

OLIVER : Est-ce que ça va ?

MOIRA : Oui, ça va !

Oliver fait un signe de tête à sa mère.

MOIRA : Je vais bien. Tu as pu joindre WALTER ?

THEA : Non, je n’ai pas réussi.

LE MÉDECIN : Comme je le disais à votre mère et votre sœur. Le scanner a décelé une commotion cérébrale de grade 2. Elle peut rentrer à la maison, mais avec une surveillance, au cas où il y a des effets secondaires.

OLIVER : Merci... Je suis désolé, je n’aurais pas dû te laisser. Je pensais que tu n’avais rien.

MOIRA : Qu’est-ce que tu croyais faire de toute façon ?

OLIVER : Je voulais essayer d’avoir la plaque d’immatriculation du type qui t’a tiré dessus.

MOIRA : C’était complètement stupide.

OLIVER : Ouais.

Oliver sert sa mère dans les bras et sort de la chambre.

THEA : Tu as réussis à voir sa plaque ?

OLIVER : Non ! Il m’a échappé.

THEA : Tu devrais peut-être consacrer moins de temps à essayer de jouer les héros. T’es clairement pas doué pour ça.

OLIVER : C’est super gentil.

THEA : Je n’essayais pas d’être gentille. Tu as laissé maman dans la rue, toute seule et blessée, en plein milieu de la rue. Ah ! Tout ça pour relever une plaque.

OLIVER : Tu...Tu crois que je raconte des histoires ?

THEA : Je t’aime Oliver et maman aussi. Mais ça devient lourd que tu veuilles jamais nous dire la vérité.

Sur ces dernières paroles Thea retourne dans la chambre de sa mère. Oliver qui est sur le point de partir, rencontre Hilton et le policier Lance.

OLIVER : Lieutenant, vous avez des pistes pour le tueur.

HILTON : Pas encore. Vous avez vu son visage ?

OLIVER : Non, il portait un casque.

HILTON : Ne vous inquiétez pas, on va le retrouver.

OLIVER : Mon chef de la sécurité va arriver. Je veux que quelqu’un reste devant la chambre de ma mère. Elle a besoin d’une protection.

POLICIER LANCE : Tu sais bien que ta famille est en tête de liste dans mes priorités. Mais le type avec qui elle était avait des relations. Il était mouillé jusqu’au cou avec la mafia. Ce n‘était pas elle la cible.

Oliver décide de s’en aller.

POLICIER LANCE : Il n’y a pas de quoi.

CHEZ LAUREL

Laurel est sur son ordinateur lorsque quelqu’un frappe à la porte. Lorsqu’elle ouvre la porte, elle y trouve le livreur de pizza et Tommy.

TOMMY : Concrètement parlant, je suis arrivé dix secondes avant lui.

Laurel paye le livreur

LAUREL : Garder la monnaie.

Tommy entre et ferme la porte.

LAUREL : Alors Tommy ? Qu’est ce qui t’amène à cette heure-ci ?

TOMMY : En fait, je supposais à juste titre, que tu serais chez toi entrain de travaillée. Je me suis dit que tu serais certainement morte de faim. Également à juste titre.

LAUREL : Voyons voir. Ça c’est une pizza, champignon, olive de chez Mario.

TOMMY : Oh, je dois avouer que c’est un super bon choix.

LAUREL : A toi ! Qu’est-ce que tu proposes.

TOMMY : Thon épicé sur du riz soufflé de chez Toro.

LAUREL : Ohhhh. Tu m’énerves Merlyn. J’espère que tu n’avais rien d’autre en tête à part les sushis.

TOMMY : En fait, il y a un petit truc que je voulais te demander.

LAUREL : Va s’y je t’écoute.

TOMMY : Tu veux sortir avec moi ? Genre en tête à tête.

LAUREL : Tu m’as apporté un diner, pour m’inviter à diner ?

TOMMY : Ben je t’ai aussi organisé un gigantesque gala de charité.

LAUREL : Je croyais que tu l’avais organisé pour une centaine de gens qui en bénéficieraient.

TOMMY : Oui, oui, pour des centaines de personnes et pour une de plus.

LAUREL : Tommy

TOMMY : Laurel. Oui je sais. C’est vrai que tout se passe dans le désordre, pour nous deux. D’abord. On est amis pendant de nombreuses années, et après brièvement, on est amis avec certains avantages, vraiment très appréciable, comme avantage. Et maintenant je te propose que toi et moi on soit deux personnes assissent dans le même restaurant, à la même table au même moment, c’est tout. Tu vois dis comme ça, ça ne parait pas si flippant. Hum ?

BASE D’ARROW

Oliver s’entraine, Diggle arrive.

DIGGLE : Oliver ! Ta mère a failli se faire tuer. Je crois que tu peux sécher l’entrainement une journée.

OLIVER : Ma mère n’était pas la cible. Lui c’était Paul Copani. Il essayait de conclure un marché avec elle, quand on leur a tiré dessus. Il bossait pour Bertinelli construction... Et Frank Bertineli.

DIGGLE : Le chef de la mafia ?

OLIVER : J’ai fait mon enquête. Copani n’est pas le premier de l’équipe Bertinelli à être touché.

DIGGLE : Tu as bien enquêté.

OLIVER : Bertinelli a un paquet d’amis. Le meilleur moyens de savoir qui essai de viser son organisation, c’est de s’y introduire.

DIGGLE : Si je comprends bien ce que tu dis. Ta mère s’est fait tirer dessus et a failli mourir, et ta façon de gérer ça émotionnellement, c’est d’infiltrer clandestinement la mafia.

OLIVER : J’essaie pas de gérer ça émotionnellement.

DIGGLE : Justement c’est peut-être ça ton problème. Tu n’as pas envie simplement d’être présent pour ta famille.

OLIVER : J’ai essayé aujourd’hui avec Thea. Elle m’a dit que je n’étais pas honnête avec elle. Et elle a raison. Je me vois mal lui expliquer que j’ai laissé notre mère tout seule et blessée sur le trottoir, parce que je suis assez rapide pour rattraper l’agresseur et le mettre chaos. Mais en revanche ce que je peux faire, c’est protéger ma famille. Fait-moi confiance quand j’aurais découvert l’identitée de ce type. Ce sera un homme mort.

STARLING CITY LA NUIT.

Une moto se gare dans un garage. Une personne descend et se dirige vers un tableau, prend un feutre noir et fait une croix sur Paul Copani. Puis elle enlève son casque. Le visage d’une femme apparait.

MANOIR DES QUEEN.

Thea est habillée d’une robe de soirée et elle descend les marches des escaliers ainsi qu’Oliver, qui est également habillé d’un costume.

OLIVER : Speedy où tu vas ?

THEA : Je vais danser. Difficile de faire ça chez soi, c’est mieux dans une boite de nuit.

OLIVER : Il faut absolument que je sorte ce soir. Je pensais que tu resterais avec maman.

THEA : J’ai passé toute la journée avec elle. Je pensais que ce soir tu prendrais le relais.

OLIVER : Je suis désolé, mais j’ai un truc important à faire.

THEA : Franchement, parfois j’avoue que j’ai vraiment du mal à te comprendre. Quand je dis parfois, ça veut plutôt dire toujours.

OLIVER : C’est drôle, t’es pas la première personne qui me dis ça aujourd’hui.

THEA : C’est bizarre, je ne suis pas surprise.

Tommy arrive au manoir.

TOMMY : Très jolie robe. Tu vas où ?

THEA : Je monte à l’étage. Demande lui pourquoi ?

OLIVER : C’est une longue histoire.

TOMMY : Hé j’ai appris pour ta mère. Ça va ?

OLIVER : Oui. Elle se repose en haut, où elle est plus chamboulée qu’autre chose. Faut que j’aille faire un truc pour le boulot. Mais c’est gentil d’être passé.

TOMMY : Aucun problème. Je voulais juste prendre des nouvelles de ta mère.

OLIVER : Oui !

TOMMY : Hé je voulais te dire. Parce que je n’ai pas envie qu’apprenne ça de la bouche de quelqu’un d’autre. Ce quelqu’un d’autre étant principalement Laurel. Heu... On va diner ensemble. Tous les deux en tête en tête.

OLIVER : D’accord. Je suis content. Laurel mérite quelqu’un de bien et toi aussi.

TOMMY : Merci mec.

OLIVER : Faut vraiment que j’y aille.

TOMMY : Oui, oui, va s’y, on se reparle plus tard.

OLIVER : Oh Tommy. Si tu lui fais du mal, je te tue. Voyant la tête de Tommy. Ça va je plaisante.

DEMEURE DE BERTINELLI

Oliver sonne à la porte et attend qu’on vienne lui ouvrir. C’est Franck Bertinelli qui lui ouvre.

OLIVER : Monsieur Bertinelli.

FRANCK : Appeler moi Franck.

OLIVER : Appeler moi Oliver.

FRANCK : Merci d’avoir ce rendez-vous à la maison.

OLIVER : Mon père disait toujours que les pièces à vivre, font les plus belles salles de conférences.

FRANCK : Je vais vous la piquer celle-là. Nick Salvati mon associé.

OLIVER : Enchanté.

FRANCK : Allons boire un verre.

Oliver s’arrête en voyant une jeune femme en haut des escaliers. Celle-ci le regarde furtivement et continue son chemin de même qu’Oliver.

MANOIR DES QUEEN

Thea est allongée dans le lit de sa mère. LMoira regarde un magazine.

THEA : Alors tu as envie de voir quoi ?

MOIRA : Mmm

THEA : On peut regarder la télé réalité de cuisine pour femme au foyer, ou celle sur les médecins flics. Tu sais c’est le truc où les médecins combattent le crime quand ils ne couchent pas les uns avec les autres.

MOIRA : Met ce que tu veux ma chérie. C’est toi qui as sacrifié ta sortie de ce soir.

THEA : Ce n’est pas grave. De toute façon, personne d’autre ne pouvait rester avec toi. Oh ! Mais si attend il y avait quelqu’un.

MOIRA : Soit pas trop dur avec ton frère.

THEA : Pourquoi ? Tu ne commences pas à en avoir ras le bol de ses mensonges.

MOIRA : Thea tout le monde à ses secrets. On a tous une part de mystère. Certaines choses qu’on a besoin de garder pour nous.

THEA : Franchement je ne le comprends pas parfois.

MOIRA : Oui, je sais. Je sais chérie. Retourner dans cet hôpital et revoir le docteur Lamb. Ça m’a rappelé le jour où Oliver est revenu à la maison. C’est le docteur Lamb qui m’avait dit : «Que le Oliver que vous avez perdu n'est peut-être pas celui qu'on a retrouvé. » Je crois qu’on a tendance à oublier qu’il a vécu coupé de la civilisation pendant cinq ans. Hum

THEA : Et alors ? Ça lui donne droit à un traitement de faveur ?

MOIRA : Non, non, non, pas du tout, mais je... Je crois qu’il faudrait qu’on arrête de le blâmer et de le juger pour le Oliver qu’il était et qu’on commence à l’accepter pour celui qu’il est devenu.

DEMEURE DE BERTINELLI.

FRANCK : Alors Oliver ! Je vais être honnête avec vous. J’ai été surpris que vous me contactiez. A lire la presse local, j’avais l’impression que vous n’aviez aucune envie de vous mêler aux affaires familiales.

OLIVER : Je n’ai pas eu l’occasion d’alimenter la presse people durant mes cinq ans d’absence, fallait bien que je me rattrape. La presse raconte n’importe quoi.

FRANCK : A qui le dites-vous. J’en sais quelque chose.

NiCK Salvati reçoit un appel. Il se lève de son siège pour aller répondre.

FRANCK : Oliver je vais être direct.

OLIVER : Mmmm.

FRANCK : Je veux le contrat pour construire la division des sciences appliquées de Queen Consolidated.

OLIVER : Et je suis enclin à vous le confier.

FRANCK : Votre mère n’était pas aussi enthousiaste. Mais comment va-t-elle au fait ?

OLIVER : Elle se remet doucement. Je vous remercie.

FRANCK : C’est vraiment terrible ce qui s’est passé.

OLIVER : Oui. J’ai été sincèrement désolé d’apprendre ce qui est arrivé à Paul Copani.

FRANCK : Oh. Paul était un bon ami. C’était un type bien. Ah la violence dans cette ville. Parfois je me demande pourquoi je reste.

OLIVER : Je me dis exactement la même chose.

FRANCK : Alors pourquoi être revenu ? Après votre sauvetage vous auriez pu vous installer n’importe où.

OLIVER : Parce que Starling City c’est chez moi.

Une jeune femme entre dans le salon et prononce des paroles étrangères.

 LA JEUNE FEMME : « Peu importe où vous allez, vous finissez toujours par rentrez chez vous.»

FRANCK : Oliver ! Je vous présente ma fille Helena.

OLIVER : Enchanté.

HELENA : Pareillement. J’y vais-je sors.

FRANCK : Très bien. Emmène un des gars avec toi.

HELENA : T’inquiète je peux me débrouiller toute seule.

FRANCK : Hum...Ce n’était pas une question chérie.

NICK: Franck. Ce rendez-vous que tu as demandé. Ils sont d’accord. Tout de suite.

OLIVER : Je peux repasser une autre fois.

FRANCK : Non, non, non... Vous voulez bien nous excusez quelques minutes ? Merci.
Franck et Helena s’écartent d’Oliver

HELENA : Oliver Queen, la Lindsay Lohan en masculin.

FRANCK : Écoute... Je dois aller à mon autre rendez-vous. Mais je voudrais que quelqu’un l’emmène diner.

HELENA : Alors tu prostitues ta propre fille.

FRANCK : Non. Je lui demande de m’aider à conclure un marché. Je te rappel que l’entreprise familiale est en faillite et qu’il nous faut absolument ce contrat et qu’Oliver Queen peut nous fournir. S’il te plait mon ange. Hein. Fait ça pour nous. Pour moi. Ma fille chérie.

Oliver arrive.

FRANCK : Oliver ! Je suis désolé, faut que je m’absente. Mais Helena serait ravie de vous emmener diner et de discuter de notre marché.

OLIVER : Ah Oui ? J’espérais en parler avec vous.

FRANCK : Hé bien tout comme vous représentez votre famille. Ma fille peut également nous représenter.

OLIVER : Heu...Je... Ce n’est pas une obligation.

HÉLÉNA : Aucun problème, ça me fait plaisir.

OLIVER : Très bien.

FRANCK : J’ai hâte qu’on travaille ensemble.

STARLING CITY DEVANT BERTINELLI CONSTRUCTION.

Une femme d’origine asiatique et un homme, sortent d’une voiture et se dirigent vers Frank et Nick.

FRANCK : Merci d’être venu.

LA FEMME ASIATIQUE : C’est normal entre amis.

L’homme asiatique qui l’accompagne prononce des paroles en chinois. La femme traduit

LA FEMME : Nous ne sommes pas responsables des attaques sur vos collaborateurs.

FRANCK : Ses attaques sur mon entreprise, sur les forces vives de ma famille, doivent cesser immédiatement, ou vous aurez de mes nouvelles.

Les deux asiatiques remontent dans la voiture et s’en vont.

NICK : Qu’est-ce que les triades auraient à gagner en te provoquant à ton avis ?

FRANCK : Personne n’a jamais dit que les triades avaient un raisonnement rationnel. Si ce n’est pas eux ? Alors qui d’autre ?
Au poste de police Hilton et Lance écoutent les dire de Franck.

Franck sur écoute « En tout cas quand j’aurais trouvé qui est derrière tout ça. Ça va saigner »

HILTON : Je sens que Bertinelli va chercher à intimider tous ceux qu’il paye en échange de leur protection.

LANCE : Ouais normal, trois de ses principaux gagne-pain ont été tués. Il faut bien qu’il récupère du cache quelque part. En tout cas celui qui entaille l’arbre familial, cherche à faire souffrir Bertinelli.

HILTON : Donc tu penses que c’est une des autres familles.

LANCE : Non !

HILTON : Qui alors ?

LANCE : D’après le médecin légiste aucune des victimes n’a reçue des tirs propres. La moitié est des balles perdues. Notre tueur est loin d’être un pro.

HILTON : Ce n’est pas ça qui va l’empêcher d’appuyer sur la détente.

LANCE : C’est pour ça qu’il faut agir... Sinon ça va dégénérer en véritable guerre mafieuse.

RESTAURANT CHEZ RUSSO.

Le patron tire la chaise d'une table pour que Héléna puisse s’assoir.

LE PATRON : Vous êtes en beauté Héléna. Vraiment superbe. Nous allons particulièrement bien nous occuper de vous ce soir. Vous direz à votre père bonjour de notre part.

HÉLÉNA : Bien sur Monsieur Russo.

MR RUSSO : Je vous laisse quelques minutes.

OLIVER : Oui, merci.

HÉLÉNA : J’ai appris pour l’accident de votre mère. Est-ce qu’elle se remet bien ?

OLIVER : Oui, c’est rien de bien méchant. Merci.

HÉLÉNA : J’en suis ravie. Alors pourquoi souhaitez-vous entrer en affaire avec mon père ? Vous savez qui il est et comment il a gagné son argent.

OLIVER : Vous n’approuvez pas les entreprises de votre famille ?

HÉLÉNA : Nous avons le même nom. Ce nom nous définit, que nous le voulions ou non ! Vous portez déjà un jugement sur moi, de la même façon que je porte déjà un jugement sur vous.

OLIVER : Exact ! Je suis la Lindsay Lohan au masculin.

HÉLÉNA : Hein...Désolé.

OLIVER : Tout va bien.

HÉLÉNA : Est-ce que je peux vous demander quelque chose ?

OLIVER : Oui !

HÉLÉNA : Je sais que ça a dû être l’enfer pour vous. Seul sur cette île, pendant cinq ans. Mais...

OLIVER : Mais quoi ?

HÉLÉNA : Il n’y a pas eu un jour ou vous êtes senti, heureux en un sens, loin de tout ? Pas de pression de la famille. Pas besoin d’être la personne que tout le monde n’attend que vous soyez. Il n’y a pas eu un jour ou vous avez...

OLIVER : Quand je ne me sentais pas perdu, je me sentais libre. C’est arrivé plus d’une fois. Et... En fait ces jours-là me manquent.

SEAGRASS RESTAURANT.

Laurel et Tommy dinent ensemble dans un restaurant. Tommy semble ne pas supporter la nourriture épicée.

TOMMY : Ouff... Mmmm..

LAUREL : Qu’est ce qui t’arrives ? C’est trop épicé pour toi ?

TOMMY : Non ! Non, ce n’est pas ça. En fait... Je pleure parce que je repensais à une publicité que j’ai vu tout à l‘heure à la télé, où il montre un chaton malade. C’était super émouvant.

Au dire de Tommy Laurel rigole.

UN SERVEUR : Désirez-vous autre chose ?

TOMMY : Non ! Merci.

LE SERVEUR : De rien.

TOMMY : Merci d’avoir accepté ce diner.

LAUREL : Merci de m’avoir laissé choisir indien.

TOMMY : J’avais lu un article écrit par un critique de cinéma qui disait que s’il devait formuler un seul vœu ; ça serait de pouvoir voir son film préféré comme si c’était la première fois. J’aimerais ça pour nous deux.

LAUREL : Alors tu veux diner et regarder un film ?

TOMMY : Non ! J’aimerais qu’on vienne de se rencontrer. Et qu’on soit au début de l’histoire. Et que, qu’il n’y ait pas autant de chose de moi que j’aimerais que tu oublies.

LAUREL : Et bien continue de dire de gentille chose comme ça et peut-être que la prochaine fois je te laisserais choisir le restaurant.

LE SERVEUR : Monsieur Merlyn ?

TOMMY : Oui.

LE SERVEUR : Je suis désolé votre carte de crédit a été refusée.

TOMMY : Vous l’avez repassé plusieurs fois, vous savez ces machines sont un peu capricieuse parfois.

LE SERVEUR : Oui, j’ai réessayé et malheureusement la société de la carte de crédit me demande de la confisquer. Je suis navré.

RESTAURANT RUSSO

Oliver et Héléna sont toujours attablés.

OLIVER : Les gens me demandent tout le temps ce qui m’a le plus manqué. L’air conditionné, la radio satellite, les tagla...telles...

HÉLÉNA : Tagliatelles.

OLIVER : Ce sont les réponses que je donne aux gens parce que ce sont les réponses qu’ils attendent de moi.

HÉLÉNA : Pourquoi vous ne leur dites pas la vérité ?

OLIVER : Je ne sais pas si je peux leur dire la vérité.

HÉLÉNA : Vous avez vécu une épreuve et ça vous a changé. C’est évident.

OLIVER : C’est vraiment très beau... Votre croix.

HÉLÉNA : C’est un cadeau. De la part de mon fiancé.

OLIVER : Ahh...Fiancé. J’ignorais que vous étiez fiancé.

HÉLÉNA : Je ne le suis pas...Plus. Il est mort.

OLIVER : Je suis désolé.

HÉLÉNA : Moi aussi. Ca ça a été mon épreuve à moi.

OLIVER : Ça fait du bien de... ça fait du bien d’être avec quelqu’un avec qui je peux être moi-même.

HÉLÉNA : ça fait du bien d’être avec quelqu’un qui sait ce que c’est de souffrir.

Le téléphone d’Oliver vibre.

OLIVER : Je suis vraiment Désolé.

HÉLÉNA : Ce n’est pas grave. Allez-y !

OLIVER : Excusez-moi. Oui

VOIX OFF DE DIG : C’est Dig. Il s’est passé quelque chose. Part d’où tu es et rappel moi.

OLIVER : Héléna il faut que je parte. J’ai une chose d’importante à faire. C’est à propos de ma mère. Autrement, je ... Je serais resté.

HÉLÉNA : Et ça m’aurait fait plaisir.

Oliver dépose sur la table des billets, mais Héléna n’est pas d’accord.

HÉLÉNA : Non. Mon père me tuerait si je vous laissais payer.

OLIVER : Je vais vous faire un aveu.

HÉLÉNA : Je vous écoute.

OLIVER : Je ne voulais pas sortir avec vous ce soir.

HÉLÉNA : Et bien nous sommes deux, alors.

OLIVER : Je suis très heureux de l’avoir fait.

HÉLÉNA : Et bien nous sommes deux. Oliver ! Soyez très prudent avec mon père.

Oliver quitte le restaurant.

MANOIR DES QUEEN.

Moira est dans son lit et quelqu’un frappe à sa porte.

MOIRA : Entre Thea, ce n’est pas la peine de frapper, chérie.

MALCOLM : Et moi ? Je ne vous dérange pas j’espère ? Thea m’a fait entrer.

MOIRA : Qu’est-ce que vous faite ici ?

MALCOLM : Je voulais voir si vous vous remettiez ?

MOIRA : Un homme avec vos moyens a obligatoirement un téléphone.

MALCOLM : Je préfère voir la personne quand je dois lui parler de quelque chose d’important. Nous étions des amis Moira. Je me rappel bien de cette époque. Vous, moi et Robert. C’est pour ça que je suis passé vous voir. Vous êtes un élément vital pour l’avenir de Starling City. Robert craignait cet avenir. Il avait perdu ses convictions. D’après mon expérience quand une personne frôle la mort de justesse comme ça a été votre cas. Même ses convictions les plus profondes peuvent changer. Est-ce le cas ?

MOIRA : Non !

MALCOLM : Vous n’aviez pas besoin de le dire ! Je vois bien qu’elles n’ont pas changé.

Malcolm quitte le manoir.

STARLING CITY.

Oliver rappel Diggle comme promis.

OLIVER : Qu’est ce qui s’est passé ?

DIGGLE : C’est plutôt ce qui va se passer ? L’homme de main Bertinelli, est Nick Salvati ?

OLIVER : Oui, on a bu un verre ensemble tout à l’heure. Il a l’air d’un mafieux pur et dur.

DIGGLE : En ce moment il rend visite à tous ceux qui doivent du fric à la mafia, pour leur protection.

OLIVER : Diggle, j’essaie de savoir qui a tiré sur ma mère, pas de démanteler tout le réseau du crime organisé.

DIGGLE : Écoute-moi Salvati et ses sbires ont déjà envoyés quatre personnes à l’hôpital ce soir. Et si personne n’arrête ce type très rapidement, le proprio chez Russo sera le prochain.

OLIVER : Attend une minute. Le resto chez Russo ?

DIGGLE : C’est à l’angle de la rue Adams.

OLIVER : Je sais où s’est, j’y suis en ce moment même.

DIGGLE : Quoi ?

OLIVER : Je... J’étais entrain de Diner avec la fille de Bertinelli.

DIGGLE : Hé tu es censé enquêter en douce, pas faire du Speed dating.

OLIVER : On ne m’a pas laissé le choix.

DIGGLE : Ouais ! Je vois une photo d’elle en ce moment sur internet. Tu parles d’un sacrifice. Je compatis.

OLIVER : Salvati vient d’arriver.

Oliver raccroche son téléphone et se dirige de nouveau vers le restaurant chez Russo. Le patron fait ses comptes sur le comptoir. Au moment où la serveuse vient pour fermer la porte du restaurant Salvati arrive.

LA SERVEUSE : Je suis désolé nous sommes fermé.

LE PATRON : Ah monsieur Salvati. Buona sera. Ah j’ai des lasagnes qu’on vient de cuisiner.

SALVATI : On n’est pas là pour manger monsieur Russo. On vient pour votre paiement.

LE PATRON : J’ai...J’ai déjà réglé ce que je vous devais ce mois-ci.

SALVATI : Et bien il faut nous payer encore.

LE PARTON : S’il vous plait, je n’ai pas les moyens de vous faire un autre versement.

SALVATI : Vous avez quoi ? Réapprovisionnez votre bar ! Cassez-lui les doigts.

LA SERVEUSE : Laisser le tranquille.

SALVATI : Cassez-lui les doigts aussi.

LE PATRON : Non la touchez pas !

Une flèche touche le compteur d’électricité. Tout le restaurant se retrouve dans le noir. Arrow s’en prend d’abord à un des sbires de Salvati et le combat continu.

ARROW : Partez !

Salvati tire des coups de feu sur le justicier. Soudain la porte du restaurant s’ouvre et une personne avec un casque de moto fait irruption et tire des coups de feu. Arrow se bat contre lui. Il casse le casque et lui enlève c’est alors qu’il découvre que c’est Helena. Arrow est étonné de voir que c’est elle. Il enlève sa capuche.


BASE D’ARROW

OLIVER : Je ne comprends pas ! Pourquoi elle vise sa propre famille ?

DIGGLE : Moi qui pensais que c’était toi qui avait des problèmes avec tes parents.

OLIVER : Je ne plaisante pas ! Arrête !

DIGGLE : Tu n’es pas entrain de tombé amoureux de cette fille. Tu ne peux pas être fou à ce point-là ? Helena Bertinelli a tiré sur ta mère, et elle a aussi assassiné quatre hommes de sang-froid.

OLIVER : Diggle. Elle a forcément des raisons de faire ce qu’elle fait. Ça ne peut pas être gratuit.

DIGGLE : Des raisons ? Depuis quand tu te soucis des raisons des méchants ? Hé c’est elle le méchant dans l’histoire. C’est l’assassin ! Et quoi que tu ais dans la tête, il faut bien que tu comprennes un truc. Toute tentative d'assassinat sur son bras droit, rendra le père de ta nouvelle petite amie hystérique.

OLIVER : Je sais ce que je fais.

DIGGLE : Maintenant je comprends ce que ressent ta famille quand tu leur mens.

Diggle quitte la base.

POSTE DE POLICE

LANCE : C’est le seul angle que vous avez ?

INFORMATICIEN : Russo a été lésé sur son dispositif de sécurité.

LANCE : Il y a quelqu’un en coulisse avec un flingue, entrain de tirer sur ces types. Vous avez des images d’avant ?

L’INFORMATICIEN : Quoi ? Avant les coups de feu ?

LANCE : Ouais.

L’INFORMATICIEN : Pas grand-chose. Un diner pro, un anniversaire, deux trois rendez-vous galant.

LANCE : Pas de clients de nationalité chinoise ?

L’INFORMATICIEN : Pourquoi ?

LANCE : Pour me faire plaisir.

L’informaticien retourne aux images précédentes. Lance a repéré quelque chose. Le repas en tête à tête d’Oliver et d’Helena.

LANCE : Wow, attendez une seconde. C’était quoi ça ?

L’INFORMATICIEN : Faites comme chez vous.

LANCE : Aller ! Le petit enfoiré.

MANOIR DES QUEEN.

Quelqu’un frappe à la porte d’entrée. Oliver va ouvrir.

OLIVER : Lieutenant. Est-ce que tout va bien ?

LANCE : Ton...Ton copain l’archer était au resto chez Russo hier soir.

OLIVER : Et moi, j’étais là-bas pour diner avec une fille. Je suis désolé pour vous. Qu’est qu’il y a ? Vous me prenez encore pour ce type ?

LANCE : Non ! Cette fille ; Héléna Bertinelli. Si tu veux un conseil reste très loin d’elle. Sa famille est une plaie. Ils attirent que des problèmes.

OLIVER : Pourquoi cet intérêt soudain pour mon bien être.

LANCE : Il y a quelques semaines j’ai fait une erreur. J’ai failli te faire tuer.

OLIVER : Alors vous vous sentez redevable ?

LANCE : Si jamais je l’étais, avec ce que je viens te de dire je crois que j’ai payé ma dette.

Le policier lance s’en va et Oliver referme la porte.

DEMEURE DES MERLYN

Dehors deux hommes s’entrainent à l’escrime. Tommy arrive furieux contre son paternel.

TOMMY : Je peux te parler ? Papa !

MALCOLM : Au cas où tu ne l’aurais pas remarqué ! Je suis un peu occupé là !

TOMMY : Je viens de parler au comptable. Il m’a dit que mes comptes étaient gelés et que mes cartes de crédits étaient toutes annulées.

MALCOLM : Je dépense une fortune pour les honoraire de Sandy chaque année. Quand il s’agit d’argent ! S’il te dit une chose, c’est que c’est comme ça.

TOMMY : Mais je rêve ! Tu te fous de moi !

MALCOLM : Non ! Je crois que c’est toi ! Mais j’avoue que ton irresponsabilité chronique et ta fainéantise commence à ne plus trop me faire rire. Tu te demandes pourquoi maintenant ? La question, c’est plutôt pourquoi, j’ai pas réagi avant !

TOMMY : C’est mon compte bancaire.

MALCOLM : Qui est alimenté par mon argent je te rappel. Oh... Excuse-moi qui été alimenté.

Tommy s’en va déçu et Malcolm retourne à son entrainement d’escrime.

UNE ÉGLISE

Sur un terrain d’église Héléna est à genou devant une tombe, celle de son petit ami. Oliver arrive derrière elle.

OLIVER : Héléna.

HÉLÉNA : Comment vous m’avez trouvé ici ?

OLIVER : Je vous ai suivie depuis chez vous. Votre fiancé ?

HÉLÉNA : Oui.

OLIVER : Vous m’avez dit que cette perte était votre épreuve. Que ça vous avait changé. Vous ne m’avez pas dit en quoi ?

HÉLÉNA : Quand on aime une personne, comme j’ai aimé cet homme de tout mon cœur, on ne peut pas arrivé à... éteindre ce sentiment quand on vous arrache cet être. On ressent toujours les choses aussi profondément, et à force ce n’est plus vraiment de l’amour qu’on ressent. Ça se transforme en haine.

OLIVER : De la haine envers qui ?

HÉLÉNA : Oliver... Restez loin de moi, ça vaut mieux.

OLIVER : Héléna.

Au moment où Héléna s’en va, dans la rue un fourgon noir arrive. Nick et ses hommes de main descendent et pointent sur Helena et Oliver des armes.

NICK : Montez !

Dans un entrepôt Héléna et Oliver sont attachés chacun à une chaise.

HÉLÉNA : Mon père va te tuer pour avoir fait ça.

NICK : Ahhh...Lui dit-il en la giflant violemment.

La chaise d’Héléna bascule au sol. Un de ses hommes de main redresse la jeune femme.

NICK : ça me démangeait depuis des années. Petite garce pourrit gâtée. Je savais que c’était quelqu’un de l’intérieur qui nous déclarait la guerre, à ton père et moi. J’aurais jamais pensé que ce quelqu’un c’était toi. Ah... Tu as fait tomber ça chez Russo.

HÉLÉNA : Tu es plus intelligent que je ne l’imaginais Nicky.

NICK : Toi tu ne l’es pas !

Nick est sur le point de mettre un autre coup à Héléna.

OLIVER : Arrêtez ! Vous êtes un homme d’affaire. Alors on va parler affaire. Je vous offre une grosse somme d’argent si vous nous relâchés.

NICK : Ce n’est pas une question d’argent, Richie Rich. C’est une question de loyauté.

HÉLÉNA : Il n’a rien à voir avec tout ça.

NICK : Alors c’est quoi ton problème ?

HÉLÉNA : Mon père a fait assassiner Michael.

NICK : Ah, ah, ah... Bien sûr que oui. Ton père ne voulait pas que tu saches la vérité. Ton salop de fiancé rassemblait des preuves dans notre dos. Il n’aurait pas hésitez à nous balancer au FBI. Tu te rends compte que l’amour de ta vie était sur le point de détruire ton propre père.

HÉLÉNA : Tu te trompes.

NICK : J’ai trouvé un ordinateur portable dans la mallette de Michael. Tous les éléments susceptibles de nous envoyer en taule ton père et moi pour le restant de nos jours était dedans. Dans cet ordinateur portable.

HÉLÉNA : C’était le mien ! Michael, n’était pas celui qui vous balançait au FBI ! C’était moi !

NICK : Toi ?

HÉLÉNA : Mon père est un monstre ! Il se fiche totalement de faire du mal aux gens, du moment qu’il garde son argent et le pouvoir. Je voulais y mettre un terme.

NICK : Alors c’est ta faute si Michael est mort. Pas celle de ton père d’avoir commandité le meurtre. Ni la mienne de l’avoir mis à exécution. C’est ta faute !

HÉLÉNA : C’est toi qui as tué Michael ?

NICK : J’ai visé le cœur. Pour être sûr qu’il sache que c’était moi. J’ai fait exactement...Comme ça. En pointant une arme sur Héléna. Oliver qui a réussi à se détache, fonce sur Nick qui tombe au sol. Héléna s’est également détachée. Un combat s’en suit. Oliver s’occupe des hommes de mains de Salvati et Héléna s’occupe de Nick. Héléna a réussi à prendre le dessus de Nick et l’étrangle.

NICK : Tu vas croupir en enfer pour ce que tu as fait !

HÉLÉNA : ça en vaut la peine !

Héléna a tué Nick. Oliver a tout vu.

OLIVER : Héléna.

HELENA : J’avais pas le choix, je devais le faire. Personne ne doit connaitre mon secret.


POSTE DE POLICE


HILTON : Le labo n’a pas relevé d’empreintes utilisables, a part celle des trois victimes. L’une d’elle a reçu une balle dans la poitrine.

LANCE : Alors qui a brisé la nuque de Salvati et de son comparse ?

HILTON : Quentin. Ça fait un bail que le gars à la capuche n’a pas tué quelqu’un. Et on n’a pas trouvé de flèche sur les lieux.

LANCE : Vaudrait mieux que Franck Bertinelli croit le type à capuche coupable. Parce que s’il pense que c’est les triades, Starling City va être le foyer de la troisième guerre mondiale.

CHEZ LAUREL

Quelqu’un frappe à sa porte ; elle regarde par l’œil qui c’est et ouvre la porte. C’est Tommy.

LAUREL : Comment ça va ?

TOMMY : J’ai parlé à mon père aujourd’hui.

LAUREL : ça a dû être un grand moment.

TOMMY : Il m’a expliqué ce qui s’était passé hier avec ma carte de crédit, mon compte courant, mon compte épargne, mon compte de courtage et mon portefeuille d’action. Il m’a littéralement coupé les vivres.

LAUREL : Quoi ?

TOMMY : Je me suis fait confisquer ma voiture, c’était cool. Et... je dois aussi déménager de mon appart d’ici la fin du mois.

LAUREL : Tu vas t’en sortir. J’en suis sure Tommy. Tu vas même t’en sortir merveilleusement bien. Avec ou sans l’argent de ton père. Et pour ton info. J’ai une pizza aux champignons, olives pour deux personnes de chez Mario dans mon réfrigérateur, qui attend impatiemment d’être mangé.

TOMMY : J’espère qu’elle a été payée celle-là.

LAUREL : Oui, je confirme.

MANOIR DES QUEEN

Chambre de Moira, celle-ci dort. Walter s’approche de son lit et lui touche une mèche de cheveux. Lorsqu’elle se réveille elle est étonnée de voir son mari.

MOIRA : Quand est que tu es renté ?

WALTER : A l’instant.

MOIRA : Je suis tellement heureuse de te voir. Est-ce que tu es revenu uniquement parce que tu as appris que j’avais blessé.

WALTER : Non ! J’étais déjà en route quand Thea m’a appelé. Je suis rentré à la maison, parce que ma femme me manquait.

MOIRA : Oh chéri.

WALTER : ça va aller.

Oliver est devant la porte et regarde la scène. Thea arrive dans le couloir au moment où Oliver s’en va.

THEA : Comment elle va ?

OLIVER : Walter vient de rentrer. Elle va aller beaucoup mieux.

THEA : Je voulais te dire que j’étais désolé d’avoir été un peu méchante avec toi.

OLIVER : ça s’est produit plusieurs fois. Tu pourrais être plus précise.

THEA : N’abuse pas.

OLIVER : T’inquiète pas ! Tas pas été si méchante. Enfin à l’hôpital tu l’as été un peu. Un tout petit peu.

THEA : Écoute. C’est juste que je m’inquiète pour toi. T’as l’air dans ton monde. On a tous nos secrets, je sais bien. C’est évident que tu as les tiens... Et ce n’est pas grave si tu n’as pas envie de les partager avec nous. Mais je crois que ça te ferais du bien de les partager avec quelqu’un.

Sur ces dernières paroles Thea embrasse son frère sur la joue.

STARLING CITY

CHAMBRE D' HÉLÉNA

HÉLÉNA : Je devrais te demander comment tu es rentré mais le tueur de Starling City vient comme ça lui chante. N’est ce pas ?

OLIVER : Comment tu l’as su ?

HÉLÉNA : Je t’ai vu te battre. Et j’ai vu ton regard. Cette île t’a changé d’une façon que seul quelqu’un comme moi peut comprendre.

OLIVER : Non ! Ce que tu fais actuellement. Je sais que pour toi ça s’apparente à la justice. Mais ce n’est pas du tout ça. C’est de la vengeance.

HÉLÉNA : Parfois il arrive que la vengeance ce soit la justice.

OLIVER : Héléna. Ton père a assassiné ton fiancé.

HÉLÉNA : Et qu’est-ce que ton père t’a fait à toi ? Est-ce que l’homme à la capuche ne se bat pas pour rendre justice ? Pourquoi ta vengeance serait plus valable que la mienne ! On est pareil toi et moi !

OLIVER : Non ! On ne l’est pas !

HÉLÉNA : On se cache à la vue de tous ! On dissimule notre colère derrière nos beaux sourires et nos mensonges ! Ne me ment pas Oliver. Tu ressens la même chose que moi, j’en suis sûre.

OLIVER : Pourquoi tu pleures ?

HÉLÉNA : Je n’en sais rien. Peut-être parce que j’ai été seule avec ma haine pendant tellement longtemps. Ça me fait...

OLIVER : Tellement de bien de dire la vérité.

Oliver et Héléna se rapprochent et s’embrassent avec passion.

                                                                               FIN

Kikavu ?

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Derniers commentaires

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natas  (17.02.2018 à 06:21)

Tommy de plus en plus sympathique.

Les parents (Merlyn et Queen) de plus en plus creepy !

J'aime beaucoup ce love interest pour Oliver !

Contributeurs

Merci aux 4 rédacteurs qui ont contribué à la rédaction de cette fiche épisode

Ashni 
poupette67 
serieserie 
Sirena 
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