Un homme innocent (An Innocent Man)
Saison1 épisode 04
Script VF
[FLASHBACK SUR L’ÎLE]
VOIX OFF DE OLIVER : Je m’appelle Oliver Queen. Je suis resté 5 ans sur l’île où j’ai échoué, avec un seul but, survivre.
Le présentateur du journal Tv : Oliver Queen est vivant.
VOIX OFF D’OLIVER QUEEN : Maintenant je vais accéder à la dernière volonté de mon père.
ROBERT QUEEN DANS LE RADEAU DE SURVIE : Tu peux t’en sortir vivant.
VOIX OFF D’OLIVER : Me servir de la liste de nom qu’il m’a laissé, et faire tomber les personnes qui gangrènent ma ville. Pour le faire, je dois devenir quelqu’un d’autre. Je dois devenir quelque chose d’autre.
[Flashback : Dans le canot de sauvetage.]
OLIVER : SARAH !
DEVANT LA PORTE DE L’APPARTEMENT DE LAUREL : Tu peux me dire comment je suis censé garder mes distances si tu ne gardes pas les tiennes.
MOIRA : John Diggle, il t’accompagnera partout à partir de maintenant.
DGGLE : Je commence à peine à cerner quel genre d’homme vous êtes.
Précédemment
Arrow pénètre par la fenêtre dans le repaire du tueur. Deadshot, qui est interrompu, mitraille Arrow. Deadshot est maitrisé.
Mais un gémissement, derrière lui, se fait entendre, le justicier se prépare à tirer une autre flèche, mais lorsqu’il se retourne, il voit Diggle affalé contre le mur. Arrow se précipite vers Diggle pour l’aider et l’emmène avec lui.
[LA SUITE...]
Le justicier transporte Diggle dans sa base. Il allonge celui-ci sur une table. Puis prépare une potion avec les herbes médicinales qu’il a prises dans sa malle. Il lui fait avaler la potion. Diggle est mal en point, il transpire beaucoup. Il commence à émerger, sa vue est flou. Lorsqu’il essaie de se lever, sa vue s’ajuste pour se focaliser sur un homme. Diggle découvre très étonné qu’il s’agit d’Oliver Queen.
OLIVER : Comment tu sens ?
Diggle qui a réussi à s’assoir sur la table, regarde fixement Oliver.
DIGGLE : Oliver ? S’étonne-t-il en se levant.
Oliver lui fait un signe positif de la tête.
DIGGLE : Alors c’est toi l’archer ? Lui demande-t-il étonné.
Diggle fonce alors sur Oliver mais celui-ci l’esquive.
OLIVER : Calme-toi Dig ! Tu as été empoisonné.
DIGGLE : Enfoiré ! En essayant d’attaquer de nouveau Oliver. Ce dernier le rattrape par une prise qui immobilise Diggle.
OLIVER : Arrête ! Arrête... J’aurais pu t’emmener n’importe où. J’aurais pu te ramener chez toi. Mais je t’ai amené ici.
DIGGLE : Cette île t’a vraiment fait perdre la tête.
OLIVER : J’y ai trouvé d’autre chose.
DIGGLE : Des cours de tir à l’arc ?
OLIVER : De la lucidité... Starling City est à l’agonie. Elle a été empoisonnée, par des criminels haut placés, qui se moquent de faire souffrir des innocents. Tant que ça leur permet de rester riches et puissants.
DIGGLE : Et qu’est-ce que tu as l’intention de faire ? Les prendre un par un à toi tout seul ?
OLIVER : Non ! Non, je veux que tu te joignes à moi. Un membre des forces spéciales qui a combattu à Kandahar c’est parfait ! Nous sommes tous les deux des soldats.
DIGGLE : Oliver tu n’es pas un soldat ! Tu es un criminel et un meurtrier !
****************GÉNÉRIQUE****************
MANOIR DES QUEEN LA NUIT.
Oliver entre et monte quelques marches d’escaliers, lorsque Laurel arrive derrière lui.
LAUREL : Où-étais Tu ?
OLIVER : Qu’est-ce que tu fais ici ? Souffle-t-il fatigué.
LAUREL : J’ai appris pour la fusillade. Je voulais m’assurer que tu n’avais rien.
OLIVER : C’est vrai ?
LAUREL : Oui ! J’ai frappé à la porte et j’ai vu une famille morte d’inquiétude pour toi, personne ne savais ou-tu étais.
Oliver descend quelques marches et appuis sa tête contre le pilier.
LAUREL : Oliver tu te rends compte à quel point il faut être égoïste, pour ne même pas penser que les gens qui t’aiment, veulent savoir où tu es après une fusillade.
OLIVER : Tu as raison.
LAUREL : ça fait bien longtemps que j’ai appris à ne plus souffrir de ton égoïsme. Mais Moira, Théa et Walter ne méritent pas ça ! Tu sais ce qu’ils méritent ? Quelqu’un que ne se préoccupe pas que de lui-même.
OLIVER : Laurel... Je te remercie d’être passé me voir.
LAUREL : Je l’ai fait parce que je me préoccupe de la vie des autres. Peut-être que tu devrais essayer un jour.
OLIVER : Ahhh...Bon sang... Souffle-t-il en levant la tête.
Théa, qui était dans l’entrée du salon et qui a tout entendue, s’approche de son frère.
THEA : Elle a été dure avec toi... ça va ?
OLIVER : Ouais... C’est la deuxième fois dans la même soirée, qu’un ami me passe un savon. C’est usant à force.
THEA : Ouais
OLIVER : Bonne nuit.
THEA : Bonne nuit.
Oliver part se coucher. Durant la nuit, il rêve de l’île.
[FLASHBACK SUR L’ÎLE]
Dans la grotte Oliver sort de son portefeuille la photo de Laurel. YAO FEI lui apporte une cage en bois dans laquelle il y une volaille, qu’il dépose à côté d’Oliver
YAO FEI : shēng cún
OLIVER : Qu’est-ce que je suis censé en faire ?
YAO FEI : shēng cún
OLIVER : ça veut dire « Oiseau »
YAO FEI : shēng cún
OLIVER : Je ne comprends pas ! Je ne parle pas le chinois !
Oliver regarde de nouveau la photo de Laurel.
VOIX OFF D’OLIVER. Je regrette Laurel. Si tu savais comme je regrette.
RETOUR AU PRÉSENT.
Oliver se réveil en sursaut. Thea est dans le salon assise sur le canapé regardant la télévision en mangeant une chips. Oliver la rejoint une tasse à la main.
Le présentateur de Tv : Il n’y avait pas de trace d’effraction, ni de signe de lutte. Mais quelques heures après, la police a trouvé le couteau tâché de sang dans le coffre de la voiture...
THEA : T’arrives pas à dormir toi non plus ?
OLIVER : Non... Il parle de qui ?
THEA: De Peter Declan.
OLIVER: hum...
THEA : Le type qui a tué sa femme.
Oliver secoue la tête négativement en regardant Thea.
THEA : Eh bien figure toi qu’il l’a assassiné dans la chambre de leur bébé. Barjo...
La tv : Peter Declan : Camille était tout pour moi. La tuer, elle, ça aurait été comme me tuer moi-même.
Thea baisse ensuite le son de la télévision.
THEA : Pourquoi tu ne dors pas ?
OLIVER : Les mauvais rêves.
THEA : Tu as rêvé de quoi ?
OLIVER : De Laurel.
THEA : Pourquoi tu ne tentes pas ta chance avec elle ? Elle est venue jusqu’ici rien que pour s’assurer que tu ne t’es pas fait tirer dessus.
OLIVER : J’ai mes raisons.
THEA : Hum... Ah ouais lesquelles ? A part le fait que tu as couché avec sa sœur, et qu’elle est morte, et que son père te hait, et que tu t’es comporté comme un parfait salop avec tout le monde depuis ton retour.
OLIVER : Ce sont les principales raisons... Je m’en rends bien compte que parfois ça ne se voit pas mais... Je ne suis plus la même personne qu’avant.
THEA : Alors montre-lui. Montre lui qui tu es. Enfin qui tu es devenu. Le nouvel Oliver.
AU MATIN
Oliver descend les escaliers et va dans le salon ou la télévision est allumée sans le son, sa mère est installée sur le canapé, un journal à la main. Devant Oliver se trouve un homme.
MOIRA : Comment as-tu dormi ?
OLIVER : Très bien je te remercie. On a de la visite ?
MOIRA : Hum...Le remplaçant de Monsieur Diggle.
OLIVER : Nous remplaçons John ?
MOIRA : Oui. Il m’a donné sa lettre de démission ce matin.
OLIVER : Est-ce qu’il a dit pourquoi ?
MOIRA : Il m’a expliqué qu’il n’approuvait pas la façon dont tu passais tes soirées. Notamment parce que tu commençais chacune d’elles par le semer.
OLIVER : Salut ! Dit-il en regardant l’homme devant lui.
Ce dernier s’avance et se présente en lui serrant la main. « Bonjour monsieur Queen, Rob Scott, votre nouveau garde du corps»
OLIVER : Vous avez un sacrée poigne, Rob.
ROB SCOTT : J’ai fait partie du SWAT du monument Point pendant cinq ans.
OLIVER : Je me sens déjà plus en sécurité.
MOIRA : A dieu merci, nous n’entendrons plus parler de ce monstre.
Oliver prend la télécommande et monte de son de la télévision.
La présentatrice Tv : L’exécution de Peter Declan est donc prévu dans maintenant deux jours à minuit. Dans un communiqué de presse l’ancien employeur de Camille Declan, Jason Brodeur a déclaré je site : « J’espère que ça aidera Camille à trouver la paix qu’elle mérite »
OLIVER : Jason Brodeur...
La Tv : Merci Jessica
MOIRA : Quoi ?
OLIVER : La femme assassinée travaillait pour Jason Broder.
MOIRA : Eh bien apparemment oui. Pourquoi ?
OLIVER : Pour rien ! Tient Rob ! Il faudrait que j’aille en ville. Vous voulez bien sortir la voiture ?
ROB SCOTT : Ne le prenez pas mal monsieur Queen, mais on m’a informé de votre tendance à jouer la fille de l’air. Si cela ne vous dérange pas, je préfère avoir constamment un œil sur vous.
OLIVER : On est à 30 kilomètre de Starling, si vous ne m’y conduisez pas...Comment je vais faire pour y aller ? Vous comprenez ?
ROB SCOTT : Oui...
OLIVER : Je l’aime bien. Dit-il à sa mère en reposant la télécommande de la télé.
Dehors dans l’entrée du manoir Rob Scott est devant la voiture et attend Oliver.
Soudain un bruit de moto se fait entendre. C’est Oliver qui passe devant son nouveau garde du corps, en lui faisant un signe.
ROB SCOTT : Héééé...
A LA BASE D’ARROW
Oliver consulte des informations de Peter Declan sur son ordinateur.
VOIX OFF D’OLIVER : Peter Declan avait soit disant tué sa femme de sang-froid. Il n’avait pas d’alibi. Et toutes les preuves le désignaient comme coupable. On l’avait accusé, jugé, et condamné à mort. Un dossier aussi vite refermé qu’on l’avait ouvert, a un détail prêt. Camille, la femme de Declan, travaillait pour Jason Brodeur, et le nom de cet homme était sur la liste.
Quelque part dans Starling City, deux hommes se rencontrent.
UN HOMME : Mr Brodeur.
JASON BRODEUR: J’admire votre savoir-faire Ankov.
ANKOV : Vous auriez dû me laisser les tuer tous les deux.
JASON BRODEUR : Peter Declan nous étaient plus utile vivant. Un mari tue sa femme, C’est un bien meilleur titre, que l’enfouissement de déchet toxique, signalé par une employée. Vous ne trouvez pas ? De toute façon dans 48 heures cette histoire sera terminée.
A LA BASE D’ARROW.
Oliver forge ses flèches.
VOIX OFF D’OLIVER : Il y a de forte chance que Brodeur soit impliqué dans le meurtre de cette femme. Ce qui veut dire qu’on risque d’exécuter un innocent, qui va avoir besoin d’un bon avocat.
AU CNRI
JOANNA : Alors j’imagine que ce n’est même pas la peine de demander si tu veux venir prendre un verre.
LAUREL : Désolé, il faut que je relise le dossier du procès Fernandez.
JOANNA : Est-ce que tu savais qu’en allant ailleurs qu’au bureau ou chez soi, on multipliait ses chances de rencontrer quelqu’un, par environ un milliard ?
LAUREL : Pas forcément ! je peux très bien se faire agresser en chemin.
JOANNA : Ah...Alors dans ce cas qu’il soit mignon et célibataire.
LAUREL : Bonne nuit Joanna.
Starling City la nuit.
Laurel rentre dans son appartement lorsqu’elle touche l’interrupteur pour allumer la lumière, celle-ci ne s’allume pas. Elle regarde le plafond, puis recommence à toucher l’interrupteur, mais toujours rien. Elle s’avance et voit que sa fenêtre est ouverte, elle prend dans un tiroir une arme, qu’elle enclenche. Lorsqu’elle entend un bruit, elle se retourne et braque son arme sur le justicier.
ARROW : Bonsoir Laurel.
LAUREL : Ne bougez pas !
ARROW : Je ne vous ferais aucun mal.
LAUREL : Reculez ! Mon père est flic, vous êtes en train de commettre une grave erreur.
ARROW : Je ne suis pas la personne que vous croyez. Et j’ai besoin de votre aide. Peter Declan va être exécuté dans 48 heures. Je pense qu’il est innocent. La femme de Declan allait dénoncer son patron, Jason Brodeur. Il l’a fait assassiner.
LAUREL : Il y a des milliers d’avocat à Starling City. Pourquoi moi ?
Le justicier s’approche de Laurel et lui fait baisser doucement son arme.
ARROW : On se bat, tous les deux, pour la justice.
LAUREL : Qu’est-ce qui vous fait croire que je vais vous aider ?
ARROW : Je sais que vous seriez prête à tout pour sauver la vie d’un homme innocent.
PRISON
LAUREL est avec Peter Declan.
LAUREL : Un jury vous a déclaré coupable monsieur Declan.
DECLAN : Toutes les preuves sont contre moi, mais je n’aie pas tué ma femme. Camille était la mère de mon enfant.
LAUREL : L’arme avec laquelle on la tué, est un couteau, qui vient de votre cuisine. Dessus il y avait vos empreintes. On a trouvé ce couteau, ainsi que du sang de Camille dans le coffre de votre voiture. Vos voisins ont dit avoir entendu des éclats de voix ce soir-là !
DECLAN : On a eu une violente dispute à propos de Jason Brodeur ! Ecoutez ! Camille travaillait pour lui et sa société avait enfouit des déchets toxiques dans le quartier des Glades. Et Camille m’a dit qu’elle été allé prévenir son supérieur. Je craignais pour la sécurité de ma famille. Alors on s’est disputé. Le ton est monté très vite ! C’est vrai ! Notre fille Izzy s’est mise à pleurer. Alors Camille est resté avec elle dans sa chambre... Le lendemain j’ai voulu m’excuser et...C’est là que je l’ai trouvé... Alors j’ai attrapé Izzy et je suis sorti de la maison en courant et j’ai appelé les secours. Je suis innocent, maitre Lance.
QUEEN CONSOLIDATED.
MOIRA : Moi j’en connais un qui a oublié qu’il déjeunait avec sa femme.
WALTER : Comment ça ? On était censé se retrouver... Oh... Il y a 3 quarts d’heures. Je suis vraiment désolé.
MOIRA : ça ne fait rien. Le restaurant nous garde notre table. Qu’est ce qui ne va pas ?
WALTER : Le service juridique m’a signalé un petit problème. Deux millions six cent mille dollars, ont été retiré d’une de nos filiales à Vancouver.
MOIRA : Comment ça ? Tu es en train de me dire que quelqu’un aurait escroqué la société de presque de 3 millions.
WALTER : C’est surement une erreur de la compta, mais le service juridique a peur d’un audit du fisc. Ça se comprend.
MOIRA : Hum, hum...
WALTER : Mais je suis sûre que ce n’est rien, ne t’inquiète pas. Aller on va être en retard. Encore plus !
POSTE DE POLICE
Laurel est devant le tableau d’affichage à fixer le dessin du justicier.
POLICIER LANCE : Ce n’est pas moi qui ai dirigé cette enquête, mais si je me souviens bien, on avait des empreintes, on avait du sang, et on avait un mobile. On avait tout !
LAUREL : Brodeur, me parait être le genre de type qui a les ressources nécessaire pour piéger quelqu’un.
POLICIER LANCE : Laurel, dans 24 heures Peter Declan, sera allongée avec une seringue dans le bras et il ne se révélera pas. Si j’avais pensé une seule seconde qu’on n’avait pas le coupable, je ne serais pas là à discuter, je serais en train de chercher ce qui s’est vraiment passé.
LAUREL : Declan a dit que sa femme avait dit qu’elle avait signalé à son supérieur que Brodeur se débarrassait illégalement de déchets toxiques.
POLICIER LANCE : Oui...Mais ce fameux supérieur a déclaré que cela ne c’était pas passé comme ça. Comment il s’appelait déjà ? Ah oui voilà...Ilcook... Matt Ilcook il n’a même pas vu Camille ce jour-là ! Ça va mieux ?
LAUREL : Ouais !
Laurel est sur le point de quitter le poste de police.
POLICIER LANCE : Tu sais je n’aurais jamais cru qu’un jour, tu te mettrais à défendre des criminels.
LAUREL : Je ne suis pas si sûre que Declan en soit un. Comme tu l’as dit, le temps lui est compté. Il ne faut négliger aucun détail.
POLICIER LANCE : Oh oui...
Laurel quitte le poste de police.
STARLING CITY, AU BIG BELLY BURGER.
Diggle est installé à une table. Carly lui apporte son repas.
CARLY : Bon alors tu vas me le dire quand ?
DIGGLE : Hum…
CARLY : Ce qui est arrivé à ton bras ?
DIGGLE : Oh, je me suis fait un truc à l’épaule, rien de grave.
CARLY : Je savais que tu aurais des ennuis avec Queen
DIGGLE : Je n’ai jamais dit que c’était arrivé en bossant pour lui.
CARLY : Ah bon ? Alors qu’est ce qui fait là ?
Oliver et son garde du corps arrive dans le restaurant.
ROB : La zone est sécurisé monsieur.
OLIVER : Merci infiniment Rob.
Oliver s’avance vers la table de Diggle.
OLIVER : Bonsoir Carly, la belle-sœur de Diggle. Oliver Queen.
CARLY : Je sais qui vous êtes.
DIGGLE : ça c’est ce que tu crois.
Carly s’en va laissant nos deux acolytes ensemble.
OLIVER : Salut ! J’ai remarqué une absence notable de voiture de police quand je suis rentré chez moi. J’étais persuadé que tu ne me balancerais pas ! Alors est-ce que tu as réfléchi à mon offre ?
DIGGLE : Ton Offre ? C’est comme ça tu appelles ça toi ?
OLIVER : C’en est une. C’est une chance de rendre le genre de service qui t’a poussé à t’engager.
DIGGLE : Me fait pas rire. Tu es né avec une cuillère en platine dans la bouche. Tu passes 5 ans sur une île sans room service, et tout à coup tu te découvres une âme de justicier.
Oliver sort alors de sa poche le carnet qu’il dépose sur la table.
OLIVER : ça appartenait à mon père... Je l’ai trouvé quand je l’ai enterré.
DIGGLE : Je croyais qu’il était mort quand le bateau avait coulé.
OLIVER : On a réussi à monter sur un radeau, mais il n’y avait pas assez de vivre pour nous deux. Alors il s’est tiré une balle dans la tête. Et même s’il a fait ça pour me donner une chance de survivre, je pense qu’il l’a fait aussi pour expier ses péchés. J’ai besoin de réparer les erreurs de ma famille. Et je voudrais aussi t’offrir une chance de réparé les tords subis par la tienne.
DIGGLE : Mais qu’est-ce que tu es en train de me raconter ?
OLIVER : La police n’a pas trouvé le tueur de ton frère.
DIGGLE : Tu laisses Andy en dehors de tout ça !
OLIVER : Les balles étaient enduites de curare, le mode opératoire de Floyd Lawton, le sniper. Que j’ai éliminé.
DIGGLE : Tu es en train de me dire, que tu as tué l’assassin d’Andy.
OLIVER : Je suis ... Je suis en train de te donner la chance... Une chance de venir en aide à d’autre famille. Est-ce que tu te souviens de la solidarité qu’ils y avaient entre des habitants de Starling City. Aujourd’hui elle n’existe plus. Parce qu’un groupe de personne, des gens comme mon père, ne voit aucun mal à piétiner les autres aveuglément pour satisfaire leurs soifs de pouvoir et d’argent. Il faut que quelqu’un les arrêtes. Et si les tribunaux ne s’en occupent pas, si la police ne s’en occupe pas, alors c’est moi qui le ferais... Avec toi j’espère.
Oliver se lève de table, son nouveau garde du corps Rob vient à sa rencontre...
OLIVER : J’ai besoin d’aller aux toilettes Rob.
Oliver part en direction des toilettes...
DIGGLE : Oh il est déjà loin. indique-t-il a Rob.
MANOIR DES QUEEN.
MOIRA: Tu suis encore la piste de l’argent ?
WALTER : Hum, hum.
MOIRA : Nous n’avons pas de comptable pour ça ?
WALTER : Ils sont étonnamment inefficaces dans le cas qui nous concerne.
MOIRA : Eh bien alors, C’est une chance que j’ai élucidé ce mystère. Je crois que c’est moi la coupable. Deux millions six cent milles, c’est un chiffre on ne peut plus précis. Et c’est la somme exacte que Queen Consolidated a investie dans la star top d’un ami, il y a trois ans. J’appellerais la comptabilité, ils corrigeront les chiffres, et on aura plus de soucis à se faire.
WALTER : Très bien.
Moira rigole puis quitte la pièce laissant Walter perplexe.
CNRI
Joanna consulte un dossier et tombe sur Laurel qui continue de consulter des dossiers pour innocenter Declan.
JOANNA : Tu consacres des heures et des heures au dossier Declan. Tu crois vraiment qu’il est innocent ?
LAUREL : Quelqu’un le crois.
JOANNA : Tu l’as déjà dit. Mais je ne sais pas de qui il s’agit ?
Laurel, s’approche de Joanna.
LAUREL : Un ange gardien.
JOANNA : L’archer ? A la capuche ? Attend tu plaisantes ?
LAUREL : Il m’a trouvé et il m’a demandé d’examiner le dossier Declan.
JOANNA : Tu l’as rencontré en personne ?
LAUREL : Il va à l’encontre de tous les principes qu’on m’a inculqué. Il enfreint la loi et dieu sait ce qu’il fait d’autre.
JOANNA : Et tu n’as pas peur que ce soit toi qui fasse dieu, c’est quoi d’autre ?
LAUREL : Je ne risque rien. Je ne sais pas, je le sens.
JOANNA : Quand je t’ai dit de rencontrer quelqu’un. C’est très, très loin de ce que j’avais en tête.
STARLING CITY LA NUIT.
LAUREL : J’ai eu votre message. Y a-t-il une raison pour que vous ne me regardiez pas en face ?
ARROW : Vous avez rencontré Peter Declan ?
LAUREL : Vous aviez raison. Il est peut-être innocent. Declan à dis que sa femme allait dénoncer Brodeur, le jour où elle s’est fait tuer.
ARROW : On doit amener la personne à qui elle a parlé à témoigner.
LAUREL : Il a déjà témoigné. Matt Ilcook, le supérieur de Camille. Seulement il prêtant que Camille n’est jamais venue le voir.
ARROW : Il peut très bien mentir.
LAUREL : Et bien si c’est le cas, il est extrêmement convainquant. Le jury et la police ont cru ce qu’il leur a dit.
ARROW : Il n’a pas été interrogé par moi.
LAUREL : Je ne suis pas devenue avocate pour recourir à des méthodes illégales.
ARROW : Je fais ce qui est nécessaire, pour des gens comme Peter Declan.
LAUREL : Si ce que vous faite est juste, alors pourquoi cachez-vous votre visage.
ARROW : Pour protéger les gens auxquels je tiens.
LAUREL : Vous devez vous sentir bien seul.
ARROW : ça m’arrive... Mais ce n’est pas le cas aujourd’hui.
Oliver se retourne et prépare une flèche qu’il lance pour disparaitre.
QUEEN CONSOLIDATED
Félicity sort de l’ascenseur d’un pas décidé et se dirige vers le bureau de Walter. Elle pousse la porte.
FELICIY : J’ai une question à vous poser ? Pourquoi vous me virez ?
WALTER : Mlle Smoak ?
FELCITY : Oui. Et je suis sans aucun doute le membre le plus compétant de tout votre service informatique, et sa comprend mon « soi-disant superviseur. » Mon renvoie serait une erreur tragique pour cette entreprise.
WALTER : C’est exact ! C’est pourquoi vous n’êtes pas renvoyée.
FELICITY : Ah ! Je m’étais dit que si vous m’aviez appelé, c’est pour...
WALTER : Je vous ai appelé pour que vous me rendiez un petit service. Une irréalité comptable de deux millions six cent mille dollars en investissement raté il y a 3 ans autorisé par ma femme. J’espérais que vous pourriez découvrir quelques détails, sur cette transaction, pour moi.
FELICITY : Découvrir ?
WALTER : Vous devrez fouiller, en toute discrétion.
FELICITY : Je m’occupe de vous... Pas de vous personnellement, ce n’était pas des avances. Et...Merci de ne pas me...renvoyer.
Dans une rue un homme marche et déverrouille sa voiture à distance, il pose sa mallette sur le siège arrière, il ouvre sa portière lorsqu’il pousse un léger cri. Il retire une flèche anesthésiante de son cou.
MATT ILCOOK : Qu’est-ce que c’e... Dit-il avant de s’écrouler sur le sol.
L’homme se réveil attaché par une menotte sur une voie de chemin de fer.
ARROW : Matt Ilcook.
MATT : Vous êtes ce type. L’archer...L’archer à la capuche qui terrorise Starling City.
ARROW : Peter Declan. Vos mensonges l’ont envoyé dans le couloir de la mort. Vous avez le choix entre : Me dire la vérité ou attendre le train de 10H 15 pour blood heaven.
MATT : D’accord, d’accord, c’est Brodeur, Brodeur, qui m’a payé pour que je dise que Camille ne m’avait pas parlé. Mais je n’ai rien à voir avec sa mort. Oh mon dieu je vous en prie. Je ferais tout ce que vous voulez. Je vous donnerais le dossier.
ARROW : Quel dossier ?
MATT : Camille m’a donné un dossier avec… avec les preuves contre Brodeur.
ARROW : Où est-il ?
MATT : Libéré moi et je vous le dirais. Attendez ! Attendez ne partez pas... ne partez pas ! Attendez ! Il est dans mon bureau ! Dans mon bureau ! Dans mon bureau de la société ! Je vous le donne ! Sortez-moi de là !
Le train approche à grande vitesse, le justicier lance alors une flèche pour libérer Matt Ilcook. Celui-ci saute des rails avant que le train n’arrive à sa hauteur.
[FLASHBACK SUR L’ÎLE]
Dans la grotte YAO FEI fait cuire un petit morceau de viande devant Oliver.
OLIVER : Qu’est-ce que c’est ? J’ai faim. Ça sent tellement bon...
Oliver s’approche de Yao Fei, mais ce dernier n’apprécie pas qu’Oliver touche la baguette où est la viande qu’il est entrain de faire cuire. Il pousse violemment Oliver qui s’étale sur le sol.
OLIVER : Allez-y garder tout pour vous.
Yoa Fei lui montre alors la volaille dans la cage et lui fait signe de lui tordre le cou, pour la manger. Oliver regarde alors l’oiseau.
YAO FEI : shēng cún
OLIVER : Je ne veux pas tuer l’oiseau.
YAO FEI : shēng cún
RETOUR AU PRÉSENT.
CNRI
Laurel est devant son ordinateur. Soudain la lumière s’éteint, elle reçoit sur son bureau un dossier.
ARROW : Avec les compliments de Matt Ilcook.
LAUREL : Qu’est-ce que c’est ?
ARROW : De quoi faire pression sur Jason Brodeur. Suffisamment pour sauver Peter Declan.
LAUREL : En tant qu’avocate je n’aurais jamais pu obtenir ce dossier. J’ai toujours pensé que la loi était sacrée et qu’elle était la solution à tout.
ARROW : Et maintenant Laurel. Maintenant qu’en pensez-vous ?
LAUREL : Je pense qu’il y a trop de gens dans cette ville qui ne se préoccupe que d’eux même. Il y a trop de gens égoïste. Je crois qu’ils ont besoin de quelqu’un qui se préoccupe d’autrui. Quelqu’un comme vous !
Lorsque Laurel regarde le dossier. La lumière se rallume et Arrow à disparu.
MANOIR DES QUEEN
Oliver est dans l’entrée.
THEA : Oh, c’est pas vrai. Qu’est ce qui est arrivé à ton visage ?
OLIVER : Comment ça ?
THEA : Il y a un truc vraiment bizarre dessus. Une sorte de déformation de la bouche.
OLIVER : Oui...
THEA : On dirait qu’elle a pris la forme d’un sourire.
OLIVER : Très drôle.
THEA : Alors pourquoi tu souris ?
OLIVER : J’ai suivi ton conseil. Concernant Laurel. J’ai été moi-même.
THEA : Etttt....
OLIVER : Et ça a marché.
THEA : Je suis une spécialiste des histoires d’amour. Si tu ne sais pas où faire ta demande en mariage, passe-moi un coup de fil.
OLIVER : Je crois que tu vas un tout petit peu trop vite en besogne. Un tout petit peu.
Sur cette fin de phrase, Rob rentre en ouvrant la porte un peu fort. Celui-ci semble épuiser.
OLIVER : Rob ! Ben il faut suivre.
Oliver s’en va laissant Rob seul dans l’entrée.
CNRI
Laurel est devant son ordinateur. Son père arrive.
POLICIER LANCE : Tu as l’air drôlement occupé ! C’est le dossier Declan ? Justement j’ai des nouvelles assez marrante à ce sujet... Figure-toi que Matt Ilcook a porté plainte. Il dit que l’archer l’a agressé hier soir. Ce qui est marrant c’est que c’est moi qui ai révélé le nom d’Ilcook à ma fille.
LAUREL : Papa...
POLICIER LANCE : C’est un justicier solitaire ! C’est un criminel ! Si tu travail avec lui, ça fait de toi une complice.
LAUREL : Je me bats pour sauver la vie d’un innocent.
POLICIER LANCE : Non ! Tu bafoues la loi.
LAUREL : Je n’aurais pas été obligé de le faire sans l’incompétence de la police.
POLICIER LANCE : Tu m’as menti en me regardant droit dans les yeux à propos du dossier...Hein. Je croyais qu’on ne se faisait pas ce genre de truc. Apparemment j’avais tort !
AU TRIBUNAL.
LAUREL : Votre Honneur. Le simple fait que ce dossier existe prouve que monsieur Ilcook s’est parjuré, et ce, au bénéfice de Jason Brodeur.
Trois hommes entre dans le bureau du juge et dit « C’est de la calomnie ! Jared Swanstrom votre honneur ! Je représente Jason Brodeur et Brodeur Kimikols »
LAUREL : L’intérêt de la justice nécessite de sursoit à l’exécution de prévenu, pour permettre l’examen approfondi des preuves découvertes récemment.
MADAME LE JUGE : Une cour de justice est tenue d’observer les lois maitre Lance. Et au regard de la loi, je ne considère pas que les preuves, que vous apportez, justifient qu’on sursoit l’exécution. Votre demande d’habeas Corpus est rejetée.
Laurel quitte la pièce en passant devant Brodeur, elle s’arrête.
LAUREL : Ce n’est pas fini ! J’ai trouvé votre faille et quoi qu’il arrive, je vais m’y engouffrer, jusqu’à ce que tout votre monde s’écroule.
Dans le bureau de Brodeur, celui-ci est nerveux.
BRODEUR : L’avocate de Declan en a après moi. Je vais finir en prison ! Si ce n’est pas pour le meurtre ! Ce sera pour cette histoire de déchets toxiques.
ANKOV : Vous n’irez pas en prison. Nous allons intervenir.
BRODEUR : Vous l’avez vu ! Cette fille a décidé de me faire plonger.
ANKOV : Elle va vouloir voir son client, après ce qu’il s’est au tribunal tout à l’heure. Nous avons des amis à la prison Iron Heights. Les prisons peuvent-être des endroits dangereux.
STARLING CITY LA NUIT.
Sur un toit.
ARROW : Ce n’est pas terminé.
LAUREL : Je suis avocate ! Croyez-moi, c’est fini.
ARROW : Qu’est-ce qu’il vous faudrait pour faire libérer Declan.
LAUREL : Au point où on en est... La seule chose suffisante serait les aveux signés de Brodeur.
Arrow s’en va...
LAUREL : Où est-ce que vous allez ?
ARROW : Obtenir ces aveux.
QUEEN CONSOLIDATED
Bureau de Walter. Il discute avec Felicity.
FELICITY : La société dans laquelle Madame Queen...Euh Steele...Madame Queen/Steele. Elle porte les deux noms ? Je l’imagine tout à fait porter les deux noms. Bien sûre. La société dans laquelle elle a investi n’existe pas.
WALTER : Je ne comprends pas !
FELICITY : Il n’y a pas eu d’investissement. L’argent a été utilisé pour monter société Hofshort appelé Tempest.
WALTER : Je ne me souvenais pas que nous avions donné ce nom à une de nos filiales.
FELICITY : Elle n’existe pas ! Pas d’enregistrement auprès de secrétariat d’état. Pas de dossier fiscal fédéral. Pas de demande de brevet. Mais il y a de ça trois ans Tempest a acheté un entrepôt à Starling City.
Walter prend le dossier des mains de Felicity et le consulte pendant que Felicity sort du bureau.
AU BIG BELLY BURGER.
Diggle est assis à une table.
CARLY : Tu as assez déprimé.
DIGGLE : Hum...
CARLY : Tu arrêtes... tout de suite ! A mon avis tu devrais tourner la page.
DIGGLE : Ahhh... Si seulement c’était aussi simple.
CARLY : Mais, ça l’est. Garde du corps c’est un métier dangereux. Ton neveu a déjà perdu son père. Je ne veux pas en plus qu’il perde son oncle.
DIGGLE : ça ne te tracasse pas qu’ont n’ai pas retrouvé l’assassin d’Andy. Quand j’étais en Afghanistan, j’avais un boulot à faire et je le faisais. Et quand je pouvais j’aidais les gens là-bas. Comme ça, quand je suis parti, j’ai pu croire que j’en avais fait un endroit meilleur. Mais depuis que je suis rentré, je n’ai fait que de protégé des vaut rien et les privilégié de la jetset.
CARLY : Ouais...
DIGGLE : ça me manque d’avoir l’impression de changer le monde.
CARLY : Alors arrête la sécurité personnelle et fait quelque chose en quoi tu crois.
DIGGLE : Et si je ne fais pas le bon choix ?
CARLY : John si tu y crois vraiment, comment cela pourrait-être un mauvais choix.
BUREAU DE BRODEUR.
Arrow le tient en joue avec son arc.
ARROW : Jason Brodeur.
BRODEUR : Qu’est-ce que vous voulez ?
ARROW : Vous allez reconnaitre avoir fait assassiner la femme de Peter Declan.
BRODEUR : Pour me retrouver à sa place en prison.
ARROW : Pour échapper à la peine capitale.
BRODEUR : Peut-être ! Mais si je suis mort, vous n’aurez plus de coupable pour le meurtre de Camille. Vous avez besoin de moi pour innocenter Peter Declan. Vous pourriez toujours me forcé à signer des aveux.
Le justicier tire une flèche dans la main gauche de Brodeur. Brodeur hurle de douleur.
ARROW : Mais ça risque d’être difficile.
BRODEUR : Espèce de malade !
Le justicier, qui s’est rapproché de Brodeur, dont le téléphone sonne, lui retire de sa veste.
ARROW : Attention à ce que vous dites.
Il décroche le téléphone et attend que Brodeur parle
BRODEUR : Quoi ?
ANKOV : C’est Ankov. Ça va se faire dans une heure.
ARROW : Qu’est ce qui va se faire dans une heure ? Répond !
BRODEUR : Je ne peux rien vous dire ! A part le fait que l’exécution de Peter Declan a été avancée.
A cette annonce, le justicier envoi alors un coup de poing dans la figure de Jason.
LAUREL : Peter vous devez m’écouter ! Ils nous restent encore une chance. Vous vous rappeler l’ami dont je vous ai parlé ? Celui qui vous croit. Il est entrain de préparer quelque chose.
Arrow arrive devant la prison et assomme un garde.
DECLAN : Je vous l’ai déjà dit, Jason Brodeur est un homme puissant.
Dans la prison un gardien ouvre une porte. Derrière celle-ci il y a Ankov, lui donne une enveloppe d’argent.
ANKOV : C’est l’heure d’ouvrir les cages.
DECLAN : J’ai déjà vécu tout ça ! Il y a toujours un avocat pour me dire de ne pas perdre espoir.
Soudain la lumière s’éteint et l’alarme se met en route.
Un gardien : On a une panne d’alimentation. Attention ! Il faut boucler le secteur. Les cellules sont ouvertes. Attention ! Attention ils sortent !
Le gardien qui est avec Laurel et Peter : Les surveillants sont entrain d’isoler le secteur C ! Rester là maitre Lance !
LAUREL : Attendez !
Un prisonnier s’en prend à un gardien ! Où tu vas comme ça ? Aller choper le !
Il attaque celui-ci et le jette à terre et lui donne plusieurs coups de pied. D’autres prisonniers le rejoignent et tous tabassent le gardien.
Les prisonniers derrière les barreaux : Aller finissez le ! Casse lui la gueule !
Laurel et son client sont sorti et court également dans le couloir. Elle est obligée de s’arrêter, car le prisonnier qui a battu le gardien, les menaces avec une arme.
Les prisonniers derrière les barreaux : « Cool ! Aller flingue la, l’avocate. »
Il n’aura pas le temps de tirer, Arrow qui est habillé en policer avec une cagoule, lui tire deux flèches dans le poitrail. Laurel se retour et le justicier lui fait signe de le suivre.
Ils fuient tous les trois, lorsque les prisonniers s’échappent de leurs cages. « Allez les mecs on va tous se les faire ! On va butter cet enfoiré»
Ils rattrapent alors Arrow, qui est obligé de se défendre. Ils rattrapent Laurel et Peter et s’en vont. Des policiers arrivent en renfort et nos trois compères, changent de cape en s’éclipsant dans une autre pièce.
ARROW : Allez dépêchez-vous !
Mais, arrivé sur place, Arrow prend un coup de poing par un prisonnier et tombe à terre. Il s’en prend à Laurel qui la pousse violemment contre le grillage, puis la pousse sur le sol et l’étrangle. Quant au justicier il a du mal à refaire surface. Lorsqu’il tourne la tête vers Laurel et la voit dans cette mauvaise posture il se relève et fonce sur l’agresseur. Arrow ne cesse de lui mettre des coups de poing dans le visage. Laurel arrive vers lui pour qu’il arrête le massacre, mais lorsqu’elle le touche, le justicier la repousse. Soudain arrive les renforts.
Le chef des renforts : Allez rétablir le courant.
L’un deux répond : « Oui chef »
Arrow : Laurel...
Celle-ci se colle alors contre le mur pour laisser passer les policiers.
Un des policiers : Restez en arrière ! La police est là. Allez on avance !
Arrow profite de leur arrivé pour s’éclipser.
Dans la rue une ambulance y est garée et Laurel attend en face à côté une voiture de police. Son père arrive en courant.
POLICIER LANCE : Oh Laurel....
LAUREL : Ohhhh...
POLICIER LANCE : Oh... Ma chérie...Mais qu’est-ce....
LAUREL : Ca va j’ai rien.
POLICER LANCE : Tu es sûre ?
LAUREL : Je suis désolé pour ce que je t’ai dit tout à l’heure.
POLICIER LANCE : Tu avais raison ! Le garde du corps de Brodeur à avouer le meurtre de Camille Declan. Voilà-on s’est gouré ! Mais écoute bien Laurel ! Mais j’ai raison pour l’autre type ! Il est dangereux ! Il agit en dehors des lois.
LAUREL : Je sais... C’est un assassin ! Il allait tuer cet homme. J’ai croisé son regard. Je n’y aie pas vu de remord.
Oliver, qui était pas très loin a les observer, à entendu la conversation entre Laurel et son père.
[FLASHBACK SUR L’ÎLE]
Dans la grotte Oliver observe l’oiseau dans la cage.
OLIVER : Eh s’il vous plait... J’ai faim... Je n’ai jamais tué, je ne sais pas le faire.
Oliver soulève la cage et attrape la volaille.
OLIVER : Vient ! dit-il en s’adressant à l’oiseau... Je suis désolé...Il lève la tête et tord le cou de la pauvre bête.
RETOUR AU PRÉSENT.
Oliver est toujours sur le toit à observer.
POLICIER LANCE : Je vais te ramener ma chérie. Comment il a pu entrer dans la prison ? Hein... Un type qui arrive, déguisé avec une capuche. C’est le genre de truc qu’on remarque. Non ?
LAUREL : Il ne portait pas sa tenue cette fois ci. Il portait un uniforme de gardien et une cagoule... Quoi ?
POLICIER LANCE : Rien ! Je viens d’avoir une idée... Aller monte.
Starling City devant un entrepôt un homme monte des marches. C’est Walter il est devant une porte qui est fermée. Pour l’ouvrir il faut un code. Walter en essaie plusieurs. Lorsqu’il le trouve, la porte se déverrouille et Walter entre dans l’entrepôt. Il allume la lumière et y découvre stupéfait, l’épave du Queen’s Gambit.
POSTE DE POLICE.
Dans un bureau, Hilton et Lance ainsi que l’informaticien, visionnent une bande vidéo de la fusillade qu’il y a eu lors de la vente aux enchères L’exchance Building.
L’INFORMATIEN : Donc voilà, ce sont les images de vidéosurveillance prise pendant la fusillade, mais je l’ai déjà toutes visionnée.
POLICIER LANCE : Oui, et ben ont va recommencer ! Quand vous avez regardé les images la première fois, vous avez cherché un type en tenu avec une capuche verte.
L’informaticien : Et maintenant je cherche quoi ? Un homme avec une perruque et un tutu ?
POLICIER LANCE : Je veux que vous cherchiez tout ce qui paraître bizarre. Alors au boulot !
Les trois hommes visionnent les images, lorsque le policier Lance est attiré par quelque chose.
POLICIER LANCE : Wow ! Wow! Wow! Attendez ! Revenez en arrière. Qu’est-ce que c’est ?
Sur la vidéo qu’ils regardent, on voit Oliver prendre dans la poubelle un sac d’où il en sort un habit. L’image de la vidéo s’arrête sur Oliver.
POLICIER LANCE : C’est pas vrai ! Je pourrais revoir ça ?
Dans un parc de Starling City Laurel est avec Peter Declan, celui-ci est désormais libre.
PETER DELCAN: Merci Laurel.
LAUREL : J’y suis pour rien. Remercier, Ankov le garde du corps de Brodeur, de l’avoir dénoncé. Je crois qu’il y a quelqu’un qui veux vous voir.
Au loin Peter aperçoit sa fille.
PETER : Izzy...
Il s’agenouille et la petite fille s’approche en courant vers son papa. Peter la prends dans ses bras, ému de la revoir.
BASE D’ARROW
L’ordinateur est allumé sur les informations télévisées. Oliver les écoute avec attention.
Le présentateur : Au moins cinq agences fédérales et locales réclament à la société Brodeur, Kimikols des millions de Dollars à titre de dommage et intérêt et de réparation du préjudice écologique. De nouveau fait ont été mis en lumière Camille Declan, une employée de Brodeur Kimikols, avait découvert que Jason Brodeur se débarrassait illégalement de déchets toxiques. Elle avait rassemblée les preuves dans un dossier avant d’être assassiné il y a cinq ans. Peter Declan, qui avait été condamné pour le meurtre de sa femme, a été libéré et l’enquête a été rouverte.
Pendant qu’il écoute, Oliver raye de la liste le nom de Jason Brodeur.
[FLASHBACK SUR L’île]
Dans la grotte, Oliver mange la volaille qu’il a tuée.
Yao Fei arrive et s’assoit.
YAO FEI : Shēng cún
OLIVER : Je sais ; oiseau... Je sais.
YAO FEI : Shēng cún : Veut pas dire oiseau. Shēng cún c’est survivre.
OLIVER : Vous parlez ma langue ?
YAO FEI : Tu veux survivre sur l’île ? Tu dois tuer l’oiseau et pleins d’autres choses. Et tu oublies la fille ! Tu l’as regarde toujours. Tu ne vas pas survivre... sur l’île.
RETOUR AU PRÉSENT.
Quelque part en ville. Moira monte dans une limousine noire où se trouve le père de Tommy.
MOIRA : Vous avez demandé à me voir ?
MALCOM: Vous semblez nerveuse Moira.
MOIRA : Ai-je des raisons d’y être ?
MALCOM : On en a tous.
Il donne à Moira un dessin d’Arrow en noir et blanc.
MOIRA : Une espèce de robin des bois des temps moderne. Qui y a-t-il ? Vous avez peur que vos revenus fassent de vous une cible ?
MERLYN : Jason Brodeur, Adam Hunt, Warren Patel, vous voyez forcément un lien ?
MOIRA : Il ne s’en prend pas aux riches.
MERLYN : Non en effet ! Il s’en prend à la liste.
MANOIR DES QUEEN.
Diggle est dans le salon devant une fenêtre. Oliver arrive.
OLIVER : Tu viens pour le poste du garde du corps ? Parce que, le nouveau a démissionné.
DIGGLE : Non, ce n’est pas pour ça ! Je suis là pour l’autre poste. Que ce soit bien clair ! Ça ne m’intéresse pas de jouer les comparses. Mais t’as raison. Il faut se battre pour cette ville. Et tu vas le faire avec ou sans moi.
OLIVER : Oui.
DIGGLE : Mais avec moi, il y aura moins de pertes humaines, dont toi.
OLIVER : Diggle, je ne suis pas à la recherche d’un sauveur.
DIGGLE : Peut-être pas ! Mais tu as quand même besoin de quelqu’un. Tu mènes une guerre. Sauf que tu ne sais rien de ce que peut faire la guerre à un homme. Tu ne sais rien de la façon dont elle ravage jusqu’à ton âme. Et tu as besoin de quelqu’un pour te rappeler ce que tu es, pas cette chose que tu es entrain de devenir.
Les deux hommes se servent une poignée de main. Soudain les policiers entre dans le manoir.
POLICIER LANCE : Oliver Queen.
WALTER : Qu’est ce qui passe ? Vous n’avez pas le droit d’entrer comme ça !
POLICER LANCE : Ah oui, ce n’est pas ce disent ma plaque et mon flingue.
OLIVER : Hé, qu’est ce ça veut dire. Lieutenant Lance.
THEA DU HAUT DES ESCALIERS : Oliver qu’est ce qui se passe ?
POLICIER LANCE : Je vous arrête pour obstruction à la justice. Coup et blessure volontaires.
MOIRA : Que se passe-t-il ?
THEA : Walter ne les laisse pas l’emmener.
POLICIER LANCE : Violation de propriété privée. Acte d’auto justice.
OLIVER : Vous êtes complètement malade !
POLICIER LANCE : Et meurtre !
Oliver est menotté.
HILTON : Vous avez le droit de garder le silence ! Si vous décider de reconsidérer.
Moira, Walter, Diggle et Thea, regardent partir Oliver menotté, Impuissant.
Fin de l’épisode.