ARROW
SCRIPT VF
« UNE OMBRE SUR LA VILLE »
Episode 1x09
[FLASHBACK SUR L’ÎLE]
VOIX OFF D’OLIVER : Je m’appelle Oliver Queen. Je suis resté 5 ans sur l’île où j’ai échoué, avec un seul but, survivre.
Le présentateur du journal Tv : Oliver Queen est vivant.
VOIX OFF D’OLIVER QUEEN : Maintenant je vais accéder à la dernière volonté de mon père. Me servir de la liste de nom qu’il m’a laissé, et faire tomber les personnes qui gangrènent ma ville. Pour le faire, je dois devenir quelqu’un d’autre. Je dois devenir quelque chose d’autre.
Précédemment.
DANS UN ENTREPÔT DE STRALING CITY
Walter découvre l’épave du Queen’s Gambit.
BUREAU DE WALTER
MOIRA : Abandonne tes investigations ! Ce n’est pas prudent !
BUREAU DE MALCOLM
MALCOLM : Les accidents ont tendance à arriver aux gens qui sont un peu trop curieux.
BUREAU DE WALTER
WALTER : Félicity, je veux que vous trouviez tout ce qu’il y a à savoir sur ce carnet.
FELICITY : J’ai eu ces lunettes aux sciences appliquées. Regardez à nouveau le carnet.
[FLASHBACK SUR L’ÎLE]
Dans la tente de Fyers.
FYERS : Où se trouve l’homme qui est sur cette photo ?
L’homme cagoulé tranche dans la peau d’Oliver.
DANS LA GROTTE
YAO FEI : L’île est très dangereuse. Mais tu ne leur a pas dit où ils pouvaient me trouver.
OLIVER : Je viens avec toi !
RETOUR AU PRÉSENT.
STARLING CITY LA NUIT.
Appartement d’Adam Hunt. Dans sa chambre. Celui-ci est au téléphone.
ADAM HUNT : C’est une opportunité exceptionnelle. Tout ce que je fais, c’est chercher des pistes pour lancer quelque chose de nouveau. Oui, je sais, je sais, mais cette fois ci. Je vais être obligé de te rappeler.
Pendant la conversation, Adam Hunt entend un bruit prêt de la porte. En voyant l’homme devant sa porte d’entrée, il imagine que c’est Arrow qui revient le harceler.
ADAM HUNT : Qu’est-ce qu’il y a ? Tu reviens pour me réclamer un nouveau pactole ? Tu vas être super déçu mon grand. Grâce à toi je suis...
Adam Hunt n’a pas le temps de finir sa phrase qu’il reçoit trois flèches dans la poitrine. Il s’écroule sur le lit. Dans le couloir devant la porte, un archer noir se tient debout et regarde son œuvre avant de s’éclipser.
BASE D’ARROW
Diggle et Oliver font leurs entrainements.
OLIVER : Bien tu accélères la cadence.
DIGGLE : Je peux en dire autant de toi. T’as barré trois noms sur la liste de ton père en une semaine.
OLIVER : Y en a qui capitule direct maintenant. Tout ce que j’ai à faire c’est leur rendre visite.
DIGGLE : La réputation du justicier commence à te précéder... Ahou...
Diggle se fait battre par Oliver qui l’a légèrement blessé au bras.
OLIVER : Un dernier Round ?
DIGGLE : Non !
Oliver semble déçu que Diggle ne veuille pas continuer.
DIGGLE : Je dois emmener mon neveu au centre commercial pour qu’il dise au père Noël ce qu’il veut cette année.
OLIVER : Noël. Ahhhhh... J’avais même pas réalisé.
DIGGLE : Surement parce que tu passes tout ton temps sous ta capuche depuis cette histoire avec Héléna.
OLIVER : Ce n’est pas pour ça ! C’est parce qu’il n’y a pas de jour de fête sur l’île. Tous les jours ça se résumait à... Comment je fais pour rester en vie.
DIGGLE : Ouais.
OLIVER : Pour y arriver. Tu es obligé d’oublier des trucs ! Noël par exemple. Mon père organisait une fête, chaque année, et il mettait un bel arbre de Noël dans chaque pièce. Dans toute la maison ça sentait... ça sentait la chaleur de Noël.
DIGGLE : Si tu laissais un peu de côté ta liste pour profiter des fêtes en famille. En plus il parait que le père Noël aussi il a sa liste. Et je te paris que tu es dans la bonne colonne. Rentre chez toi Oliver.
[FLASHBACK SUR L’ÎLE]
Dans la grotte, Oliver dort assit contre le mur de roche. Yao Fei est de retour avec de la nourriture et de l’eau.
YAO FEI : Tu n’es pas mort. Bien.
OLIVER : Où est ce que tu étais passé ? Je n’avais plus d’eau, ni de nourriture, depuis plusieurs jours. Hé, hé, où tu vas ?
Yao Fei ressort de la grotte et Oliver ouvre le bidon d’eau. Yao Fei revient avec Fyers, qu’il jette au pied d’Oliver. Oliver en le voyant lui assigne un coup de poing. Au moment où Oliver veut lui en remettre un Yao Fei, repousse Oliver.
OLIVER : Vous !
YAO FEI : Arrête ! Arrête !
OLIVER : C’est lui qui m’a ligoté ! Qui m’a fait torturer. Tout ça parce qu’il te cherchait ! Il m’aurait buté si tu n’étais réapparu !
Yao Fei lui tend alors un couteau.
OLIVER : Pfff...
YAO FEI : Où alors il t’emmènes chez toi !
OLIVER : Quoi ?
YAO FEI : Il a un avion. Un moyen pour toi de quitter cette île.
MONOIR DES QUEEN.
Oliver rentre et voit sa sœur bien habillée.
OLIVER : Salut. Tu es très jolie ! C’est à quelle occasion ?
THEA : Maman et Walter ont invité à diner des gens importants, qui se la péte à mort !
OLIVER : Ouuu...
THEA : La soirée de ma vie.
OLIVER : Dis-moi pourquoi il n’y a aucune décoration dans la maison.
THEA : De quoi tu parles ?
OLIVER : Pas de guirlandes, pas d’’arbre de noël.
THEA : Ah ! Toute la famille a été très occupée ces temps-ci. On n’a pas encore trouvé un moment pour le faire.
OLIVER : Est-ce que au moins maman à acheter ses paquets de sucre d’orges. Tu te rappelles on faisait la course à qui finirait le bâton le premier.
THEA : Ouais, j’ai toujours gagné.
OLIVER : Non, tu trichais.
THEA : Elle est passée au régime sans sucre depuis l’année dernière. Alors je doute que tu trouves ces bonbons dans la maison.
Dans la salle à manger les invités sont attablés et Oliver s’installe en face de Malcolm.
LE CHEF DE LA POLICE : La chose que les gens ont tendance à oublier, c’est que Robin des bois était un criminel.
UN INVITE : Et voler au riche pour donner aux pauvres, c’est le boulot des démocrates, normalement.
MALCOLM : Blague à part. Monsieur De Notchernot. Le crime est en baisse pour la première fois depuis cinq ans.
LE CHEF DE LA POLICE : ça c’est grâce au changement que mon administration a mis en place.
WALTER : Ou peut-être parce que les agissements du tueur inconnu ont un effet dissuasif sur les criminels de Starling.
MALCOLM : Qu’en penses-tu Oliver ?
OLIVER : Je trouve que ce justicier mérite un meilleur surnom que la capuche, ou le type à la capuche.
Tout le monde rigole.
MALCOLM : Que penses-tu de l’archer vert ?
OLIVER : Ringard.
Un téléphone sonne, c’est celui de Walter.
WALTER : Oh... Pardonnez-moi. C’est le bureau. Excusez-moi.
Walter quitte la table pour aller répondre. Il va dans l’entrée.
WALTER : Je suis en plein diner Melle Smoak. Alors j’espère que c’est vraiment important.
FELICITY : ça dépend de ce que vous appelez important. Je dirais que la plupart des gens considéraient que trouver une liste de noms écrite à l’encre ultra violette, subsonique est important.
WALTER : Je suis déjà au courant de cela. N’est-ce pas ?
FELICITY : Saviez-vous que sept des hommes que l’archer a eu dans sa ligne de mire. Si tenté que... un arc en est une. Ce qui n’est pas le cas.
Pendant la conversation quelqu’un sonne à la porte.
WALTER : Oui, enfin c’est une longue liste, Félicity. Donc je m’attendais à ce qui puisse y avoir quelques regroupements.
FELICITY: Comme Doug Miller.
WALTER : Le responsable des sciences appliqués de la société. Qu’est-ce qu’il a ?
FELICITY : Monsieur Miller pourrait bien recevoir une flèche comme cadeau de noël. Parce qu’il est sur la liste. Alors important ou pas.
Dans la salle à manger un policier vient d’arriver et celui-ci est conduit près du chef. L’homme lui glisse dans l’oreille des informations.
LE CHEF DE LA POLICE : Je vous prie de m’excusez. Le devoir m’appelle.
OLIVER : Rien de grave, j’espère.
LE CHEF DE LA POLICE : Notre mystérieux tueur a encore frappé. Il vient de tirer une flèche sur Adam Hunt.
Le chef de la police s’en va et Oliver reçois un appel de Diggle.
OLIVER : Ah ! Je suis obligé de prendre cet appel. C’est mon entrepreneur. Excusez-moi.
MOIRA : Pas de soucis.
DANS LA CHAMBRE D’ADAM HUNT.
La police est sur le lieu du crime.
POLICIER LANCE : Sa fille a débarqué et a ouvert avec sa clé et a trouvé papa. Trois tires dans la poitrine.
LE CHEF DE LA POLICE : Le gars à la capuche ?
POLICIER LANCE : C’est ce que j’ai pensé au début, mais ses flèches noires ne correspondent pas à son mode opératoire. Sans compter le fait qu’il a extorqué à Hunt 40 millions de dollars, il y a quelques mois. Ça n’a pas de sens qu’il le tue maintenant. Il y a quelque chose de pas logique. On a affaire à un imitateur.
Pendant ce temps Arrow était entrain d’écouter la conversation entre les policiers.
*******************GÉNÉRIQUE*****************
BASE D’ARROW
DIGGLE : Qui abattrait Hunt d’une flèche. Enfin, à part toi, je veux dire.
OLIVER : C’est peut être une mise en scène.
DIGGLE : Quelqu’un qui essaierait de se couvrir pour le meurtre de Hunt tout en faisant croire que c’est l’œuvre de l’archer.
OLIVER : Je ne sais pas qui s’est mais en tout cas il est doué. Un tir groupé en plein cœur, c’est difficile. Il a probablement utilisé un arc à poulie. Ce type est un archer averti.
DIGGLE : Donc quelqu’un d’extrêmement précis dans le choix de ses flèches.
OLIVER : Si on en récupère une. On arrivera à retrouver où il les a achetés.
DIGGLE : Qu’est-ce que tu comptes faire ?
OLIVER : Ce qu’on fait généralement quand on a besoin d’aide. Appeler les flics.
POSTE DE POLICE
Un facteur apporte un paquet au policer Lance.
LE FACTEUR : Quentin Lance ?
POLICIER LANCE : Oui !
LA FACTEUR : Une signature s’il vous plait.
POLICIER LANCE : Merci.
LE FACTEUR : Merci.
Quentin ouvre l’enveloppe et y trouve un téléphone portable. A peine sorti de l’enveloppe, le téléphone sonne. Il hésite quelques secondes avant de décrocher.
POLICIER LANCE : Lance !
ARROW : Je n’ai pas tué Adam Hunt.
POLICIER LANCE : Qui êtes-vous ?
ARROW : Vous m’appeler la capuche, pas génial comme surnom. Vous avez dit à monsieur De Notchernot que ça devrait être un imitateur. Un autre archer. Ce qui fait de moi votre meilleur moyen de l’éliminer. Mais j’ai besoin de vous. Il me faut une des flèches qui a servi au meurtre.
POLICIER LANCE : On n’a pas besoin de votre aide pour suivre des pistes. Merci !
ARROW : Je serais bien meilleur que vous. Je fais des choses que la police ne fait pas. Je vais dans des lieux où elle ne va pas !
POLICIER LANCE : Comme je l’ai dit. Je n’ai aucune idée de qui...
ARROW : Si cet archer ne s’arrête pas à Hunt, vous et moi on aura des problèmes ! Réfléchissez à ça ! Et appelez-moi. Le numéro est pré enregistré.
QUEEN CONSOLIDATED.
BUREAU DE WALTER.
Doug Miller arrive dans le bureau de Walter.
WALTER : Doug. Merci d’être venu !
DOUG MILLER : Je vous en prie. Répond-t-il en serrant la main de Walter.
WALTER : Comment avance la construction du centre de sciences appliquées ?
DOUG MILLER : Dépassement de budget et retard. Justement comme on s’y attendait. C’est pour ça que vous vouliez me voir ?
WALTER : Mmmm... Fit-il d’un signe de tête négative et lui fait signe de s’asseoir. Adam Hunt. Il a été tué hier soir, par l’archer à la capuche.
DOUG MILLER : J’ai lu ça dans le journal.
WALTER : Je suis préoccupé par l’idée que ce tueur pourrait viser un employé ou un cadre de notre l’entreprise. La sécurité s’inquiète à votre sujet.
DOUG MILLER : Moi ? Pourquoi ce type en aurait après moi ?
WALTER : C’est justement le point que j’aurais aimé que vous éclaircissiez.
DOUG MILLER : Je ne comprends pas. D’après ce que j’ai lu ce hors la loi ne s’en prend qu’aux criminels en col blanc.
WALTER : Bon. Espérons qu’il ne se décidera pas de se diversifier.
BIG BILLY BURGER
Thea déjeune avec son frère. Ils sont attablés. Théa mange ses frites avec ses doigts.
THEA : Je trouve qu’il devrait avoir un jour férié pour le mec qui a inventé les frites, ou au moins une statue à son effigie.
OLIVER : On ne va pas faire de fête pour Noël... je me trompe ? Thea papa en faisait une chaque année. Pourquoi...Vous avez cru que je n’aillais pas m’en rendre compte ?
Un jeune homme arrive.
SHANE: Salut Thea.
THEA: Salut Shane. Heu, c’est mon frère Oliver
Le jeune homme sert la main d’Oliver.
SHANE : Ravie de te rencontrer frère de Thea. Je paris que la bouffe sur ton île était meilleure qu’ici non ?
OLIVER : Hé bien tu as perdu ton pari.
SHANE : Si ça te dit, on peut aller se balader sur les docs.
THEA : Merci, mais je vais passer l’après-midi avec mon grand frère.
SHANE : Une autre fois alors. A bientôt.
OLIVER : Comment tu le connais ce Shane ?
THEA : On braque des banques et on fume du crack ensemble.
OLIVER : Ah, très drôle. Thea j’ai l’impression que je ne vais pas être fan de lui.
THEA : Tu ne le connais même pas. Laisse tomber changeons de sujet.
OLIVER : Très bien ! Tu vas m’expliquer pourquoi cette année on ne fait pas notre fête de Noël habituelle ?
THEA : Quand papa et toi vous avez disparus, au moment où Noël est arrivé. Aucun de nous n’avait le cœur à faire la fête. Alors, on a décidé de laisser tomber Noël cette année-là. Chaque année. Et c’est très bien comme ça.
OLIVER : Non, non, ce n’est pas bien du tout.
MANOIR DES QUEEN
Tout le monde est installé dans le salon. Oliver est debout et Moira, Walter et Thea sont assis sur le canapé.
OLIVER : Nous allons célébrer Noël. J’ai passé cinq ans sans le faire. Et Thea m’a dit que vous non plus vous ne l’aviez pas fait et que j’en était la raison. Alors peut-être que maintenant, je pourrais être aussi la raison de recommencer à le fêter. Je me dis que j’allais organiser, le Noël des Queen.
THEA : Toi ?
OLIVER : Ouais. Je suis conscient que je n’ai pas été le fils idéal, ni le beau-fils, ni le frère que vous méritez tous. En particulier, ces derniers temps. Mais je me dis que, c’est le bon moment pour commencer à rattraper le temps perdu. Qu’est-ce que tu en dis ?
MOIRA : J’en dis que je suis d’accord.
OLIVER : Super ! Bon, je m’occupe de tout ! Vous n’avez rien à faire, a part vous mettre sur votre trente-et-un et apporter avec vous la bonne humeur de Noël. D’accord ?
MOIRA : ça marche.
Oliver voyant sa sœur l’air absente, lui fait un signe de tête pour qu’elle réponde.
THEA : D’accord.
WALTER : Tu es un type bien Oliver.
[FLASHBACK SUR L’ÎLE]
Dans la forêt, Yao Fei et Oliver marchent avec Fyers, qui est menotté.
FYERS : Vous êtes un type bien, ça se sent. Enfin, derrière vos airs de gosse de riche trop bien élevé. Je l’ai vu quand mon homme vous a torturez. Vous n’avez pas trahir votre ami. Ce n’est même pas un ami en plus. Quelqu’un que vous venez de rencontrer.
OLIVER : Taisez-vous !
FYERS : Qu’est-ce que vous savez sur lui ? Rien du tout, je suppose. Est-ce que vous savez seulement ce qu’est vraiment cette île ?
C’est une prison. Je parle au sens propre. Jusqu’à environ huit ans, les forces armées chinoises utilisaient cette île comme un pénitencier, pour des criminels jugés tellement dangereux qu’ils ne pouvaient pas être incarcérés sur le continent. Quand l’armée à interrompue ce programme, mon unité est arrivée et on s’est débarrassé de tous les détenus, à l’exception de deux, votre ami est l’un d’entre eux.
Oliver s’arrête face à Fyers.
OLIVER : Qui était l’autre ?
FYERS : Vous l’avez rencontré. Il a présidé votre interrogatoire.
OLIVER : Il m’a torturé.
FYERS : Vous aviez des informations que je voulais. Qu’est-ce que vous auriez fait à ma place ? Qu’est-ce que vous feriez pour capturer l’homme qui a massacré plusieurs dizaines de personnes ?
Oliver pousse Fyers pour qu’il avance.
RETOUR AU PRÉSENT.
STARLING CITY LA NUIT.
Moira et Malcolm sont entrain de parler.
MALCOLM : Doug Miller est venu me voir aujourd’hui. Il était très inquiet. Il m’a dit que votre mari l’avait interrogé, et que ces questions suggéraient une connaissance qu’il n’était pas censé avoir, de la liste.
MOIRA : Ecoutez, laissez-moi parler à mon mari.
MALCOLM : Je crois qu’on a dépassé le stade de la conversation, Moira. Il y un mois vous êtes venus me voir en me disant de rester à l’écart de votre famille. Ce que j’ai fait ! Mais votre famille, ne reste pas à l’écart de moi. N’est-ce pas ? Ce qui nous oblige à prendre des mesures. Vous n’êtes pas d’accord ?
MOIRA : Si bien sûr ! Et c’est moi qui m’en charge.
MALCOLM : Ce que je me demande en fait...c’est, si ce n’est pas le moment que notre associé s’en charge.
Dans une rue de Starling City, un homme est au téléphone.
NELSON RAVICH : Evidemment que oui, j’ai rendu l’argent. 70 millions de dollars, ne valent pas la peine de risquer de se prendre une flèche dans la poitrine. Et tu pourras lui dire que si ça lui pose un problème. Il n’a qu’à...
Nelson Ravich, n’a pas eu le temps de finir sa phrase qu’il reçoit un flèche dans le cœur et s’écroule au sol. L’archer noir observe un instant et s’en fuit.
SUR LES LIEUX DU CRIME.
POLICIER LANCE : Chef ! Voici Nelson Ravich. Le type à capuche l’avait menacé cette semaine. Cinq minutes après Ravich avait revirer l’argent qu’il avait détourné.
CHEF DE LA POLICE : Très bien. On dit aux journalistes que c’est le gars à la capuche. L’assassinat de Hunt est presque anecdotique. C’est un fait d’hiver. Mais Ravich fait de cette affaire un cas de meurtre en série. On ne peut pas laisser la population croire instant qu’il y a deux fous dangereux qui se balade dans les rues de la ville.
POLICIER LANCE : Vous voulez que je ferme les yeux sur un tueur en série.
CHEF DE LA POLICE : Attraper un de ces psychopathes. L’un ou l’autre je m’en fiche !
POLICIER LANCE : Ce n’est pas vrai.
CHEF DE LA POLICE : C’est un ordre direct de votre officier de commandement.
POLICIER LANCE : Ne comptez pas sur moi !
CHEF DE LA POLICE : Parfait ! Et bien dans ce cas, vous êtes démis de cette affaire lieutenant. Ça prend effet immédiatement.
POSTE DE POLICE
Le lieutenant Lance est assis devant son bureau et fixe l’écran de son ordinateur. Il fixe ensuite le portable que lui a fait parvenir le justicier. Il empoigne celui-ci et s’en va téléphoner dans le couloir. Il compose le numéro et attend qu’Arrow déroche.
ARROW : Ne vous fatiguez pas à essayer de remonter jusqu’à moi ! Vous ne trouverez jamais le code !
POLICIER LANCE : Il y a un conduit d’évacuation à l’angle d’O’Neil et Adam. Vous trouverez ce que vous cherchez là-bas !
ARROW : Ce serait une erreur de me tendre un piège lieutenant.
POLICIER LANCE : J’ai fait une croix sur mes principes parce que c’est le seul moyen de chopper ce salopard. Je vous donne jusqu'à Noël ! Après imitateur ou pas ! C’est vous que je viendrais chercher !
BASE D’ARROW
Oliver examine à la loupe la flèche que Quentin Lance lui a donnée.
DIGGLE : Alors ton pote Lance, t’as offert un cadeau de Noël ?
OLIVER : Mmmm... Lame en titane recouvert en téflon dentelé, pour fracturer l’os. La tige est en polymère d’un type spécial spécifique, plus costaud la fibre de carbone qu’on utilise habituellement. Cette flèche a été fabriquée sur mesure.
DIGGLE : Lance à craqué après que l‘autre archer ai fait une deuxième victime.
OLIVER : Nelson Ravich.
DIGGLE : Encore une fois c’est un nom que tu as rayé sur le carnet de ton père.
OLIVER : Ouais.
DIGGLE : Ce type essai de te faire condamner ou de te faire venir à lui.
OLIVER : Dans les deux cas. Il faut que je le retrouve.
QUEEN CONSOLIDATED
BUREAU DE FELICITY.
Félicity est sur sa tablette. Oliver arrive.
OLIVER : Salut !
Félicity qui ne l’avait pas entendue arriver, sursaute.
FELICITY : Vous ne savez pas frapper !
OLIVER : Félicity, c’est le département informatique, pas les toilettes des dames.
FELICITY : Hummm...C’est vrai. Que puis-je faire pour vous ?
OLIVER : Mon copain Steve est passionné de tire à l’arc, apparemment c’est, c’est la grande mode en ce moment.
FELICITY : Je ne comprends pas pourquoi ! Je trouve ça carrément ridicule comme truc.
OLIVER : Mmmm... Enfin bref. C’est l’anniversaire de Steve ce week-end et je voulais lui offrir des flèches. Le truc, c’est qu’il utilise des flèches très spéciales. Ce sont des flèches faites sur mesure, et je ne sais pas du tout où il les achète. Je me disais que vous peut-être trouverez d’où elles proviennent. Attention ! Lui dit-il au moment où elle touche la tige de la flèche.
FELICITY : Ouais. Le composite de la tige est breveté.
Félicity fait une recherche sur son ordinateur.
FELICITY : Et le brevet est enregistrer dans une entreprise appeler Sagittarius. C’est du latin, ça veut dire Archer.
OLIVER : Ah oui. Pourriez-vous essayer de trouver où et quand, ça a été acheté.
Félicity sourit et recherche ce que lui a demandé Oliver.
FELICITY : D’après les archives de la société Sagittarius, cette flèche faisait partie d’une expédition groupée. Deux cent unités envoyées à cette adresse.
OLIVER : Félicity. Vous êtes remarquable.
FLELICTY : Merci de l’avoir remarqué.
OLIVER : Et joyeux Noël à vous.
FELICITY : Humm. Je suis juive.
OLIVER : Joyeux Hanoucca.
CHEZ LAUREL
Quentin est attablé, un café à la main, et regarde les informations.
CHEF DE LA POLICE A LA TV : D’importants moyens de sécurité vont être déployés par les services de police, car ces derniers jours les actes de violences du tueur se sont clairement intensifiés. Je demande donc à tous, d’être très vigilant et de signaler à la police, toutes choses suspectes. Une ligne d’information a été ouverte et une récompense sera offerte à tous ceux qui aideront les autorités à capturer se forcené.
Pendant le discours du chef de la police Quentin s’est déplacé devant la télévision. Laurel est derrière son père.
LAUREL : Ce n’est pas lui hein ? Ce n’est pas l’homme à la capuche, qui a tué ces gens.
QUENTIN : C’est toi qui a dit que ce type était un monstre.
LAUREL : Oui, mais il cherchait à me protéger. C’est différent.
Le chef de la police à la Tv : C’est la raison pour laquelle que nous avons décidé de mettre en œuvre tous les moyens que nous disposerons pour appréhender l’homme à la capuche qui depuis trop longtemps terrorise notre ville. En tant que chef de la police...
Quelqu’un frappe à la porte. Laurel arrête la télévision.
LAUREL : C’est Joanna, elle m’a dit qu’elle passerait avec des dossiers.
Lorsqu’elle ouvre la porte, elle y trouve Tommy. Celui-ci entre et salut Monsieur Lance.
TOMMY : Joyeux Noël Monsieur. Comment allez-vous ?
QUENTIN : Bien jusqu’à il y a une minute.
LAUREL : Papa !
QUENTIN : Ouais !
Quentin s’éclipse.
LAUREL : Je t’avais dit que je voulais passer les fêtes avec mon père.
TOMMY : Je sais ! A cause de Sara. Parce que les fêtes sont devenues un moment difficile. Mais quand tu le partages avec quelqu’un, qui a envie de la partager avec toi. C’est plus un moment difficile, c’est juste un moment. Il y a quelque chose qui te bloque ? Les Queen organise une soirée de Noël de dernière minute et sa me ferait très plaisir que tu acceptes de m’y accompagner. Et je...(en fouillant dans sa poche de son manteau) Je suis tombé sur des vielles photos tout à l’heure et j’ai retrouvé celle-là. Joyeux Noël. En lui offrant le cadeau.
QUENTIN : Déjà que tu étais ami avec ce type ! Maintenant il est... il est quoi ?
LAUREL : Je ne sais pas ce qu’il est ! Mais il n’a pas tort. Il y a quelque chose qui me bloque.
QUENTIN : Je vois ! Alors écoute bien ce que je vais te dire. J’essaie de ne pas me mêler de ta vie, j’essaie vraiment ! Mais ces mecs Merlyn, Queen ce sont des égoïstes ! Ils pensent qu’ils peuvent traiter les gens exactement comme ça leur chante !
LAUREL : C’est toi, moi et Sara.
QUENTIN : Quoi ?
Laurel lui montre alors le cadeau de Tommy, un cadre photo avec sa sœur et son père.
DANS LA RUE.
Arrow est de sorti. Il marche vers l’adresse que Félicity lui a donnée. Il ouvre une porte en fer. Entre dans la pièce son arc à la main. Il trouve une flèche noir plantée dans le sol. Soudain la porte se referme, Arrow se retourne, prêt à lancer une flèche. Son attention est ensuite attirée par un bruit d’eau. Lorsqu’il se retourne il fait face à un engin qui se rempli de liquide et comprend que c’est un piège, l’engin est une bombe. Il court et tire une flèche explosive dans la porte. Quelques secondes plus tard l’engin explose et la flèche d’Arrow aussi. Il sort de ce piège in extrémiste.
MANOIR DES QUEEN
Fête de noël. Oliver arrive et s’avance vers Diggle.
OLIVER : La maison est superbe.
DIGGLE : ça va ?
OLIVER : Mmm...Faut bien, je n’ai pas le choix. Tout le monde profite de la soirée ?
DIGGLE : Tu es sûr que tu veux t’occuper de ça ? Ce n’est peut-être pas le meilleur moment pour jouer les lutins du père Noël.
OLIVER : Ma famille a besoin de cette soirée. Ce qui veut dire que j’en ai besoin.
Derrière Oliver, Shane arrive avec un bouquet de fleurs.
SHANE : Salut mec. Heum, Thea m’a invité. J’espère que tu es ok ?
Oliver regarde alors le bouquet que porte Shane et lui fait un léger signe de tête.
SHANE : C’est pour votre mère.
OLIVER : Comme c’est mignon.
DIGGLE : Bonne chance.
Oliver s’en va rejoindre sa famille.
WALTER : Oliver.
OLIVER : Vous êtes magnifiques. Joyeux Noël.
Tous répondent à Oliver « Joyeux Noël »
OLIVER : Allez prenons une photo de famille.
MOIRA : J’ai déjà envoyé nos cartes de vœux. Laisse tomber, Oliver.
OLIVER : Maman. Prenons une photo juste pour nous quatre.
MOIRA : Si tu veux.
Oliver se rapproche de Théa et sa mère.
Le photographe prend alors la photo. Shane attendait que le photographe ai fini pour s’avancer vers Moira.
SHANE : Excusez-moi, Madame Queen. Elles sont pour vous.
MOIRA : C’est gentil, merci beaucoup. Je vais aller les mettre dans un vase.
THEA : Bien joué. Dit-elle à son copain.
WALTER : Tout va bien chérie ?
MOIRA : Viens, je voudrais te parler seul à seul.
OLIVER : Il n’y a pas de problème entre maman et toi ?
WALTER : Non. Je suis sûre que ça va se régler tout seul.
Thea s’est éloignée de la fête avec son copain et Walter et Moira s’en vont. Oliver est resté seul. Il scrute un peu les invités et voit Laurel accompagné de Tommy. Il s’avance vers eux.
OLIVER : Je suis ravi que vous ayez pu venir tous les deux.
TOMMY : Joyeux Noël mon pote.
OLIVER : Joyeux Noël... Joyeux Noël Laurel.
LAUREL : Toi aussi.
TOMMY : A votre avis, il va falloir combien de temps avant que ce soit plus bizarre. Je parle de nous trois.
OLIVER : Non, ce n’est pas bizarre du tout !
Les trois amis rigolent.
A l’étage dans un couloir du manoir. Moira pose le bouquet de fleurs et son verre de champagne sur une table. Walter arrive.
MOIRA : Tu m’as menti, Walter.
WALTER : C’est une drôle d’accusation, venant de toi.
MOIRA : Quand tu es revenu à la maison, tu m’as dit que tu arrêtais d’enquêter sur la mort de Robert.
WALTER : Robert était mon plus vieil ami. Tu me prends pour quelqu’un qui n’aurait pas à cœur de venger le meurtre de son meilleur ami. Mmm...Pfff... Je pensais que je pouvais oublier. Faire comme si de rien n’étais. Mais tu m’as raconté trop de mensonge Moira. Tu as détourné les fonds de l’entreprise. Tu as récupéré le Queen’s Gambit. Pourquoi Moira ? Pourquoi faire tout ça ?
MOIRA : Pour pouvoir fait le poids !
WALTER : Contre qui ? Faire le poids contre qui ?
MOIRA : Des gens que tu as mis très en colère !
WALTER : Dans ce cas laisse-moi t’aider, à les combattre.
MOIRA : Je ne peux pas les combattre ! Je suis ces personnes ! J’ai fait tellement d’effort pour essayer de me convaincre que je ne l’étais pas, et mon amour pour toi ...Ma réellement sauvé la vie.
WALTER : Moira. Écoute-moi. Quoi que tu es fait et quel que soit ces personnes. Le temps des mensonges est terminé. Je veux que tu me dises exactement ce qui se passe.
MOIRA : Attendons juste que la fête se termine. Et je te promets qu’après je te dirais tout.
Walter et Moira s’embrassent.
Retour sur nos trois amis Laurel, Tommy et Oliver.
LAUREL : Tommy ça t’embête si je parle à Oliver une minute ?
TOMMY : Pas du tout je vais nous chercher deux verres et les boire tous les deux.
LAUREL : ça ne doit pas être facile pour toi de nous voir ensemble tous les deux Tommy et moi.
OLIVER : L’invitation disait venez accompagner. Pas venez sans Laurel.
LAUREL : J’ai vraiment envie de m’investir avec Tommy. Mais en fait il y a quelque chose qui me bloque. Je n’arrête pas de me trouver des excuses. Je le dis que c’est mon père ou mon boulot, mais en vérité...C’est toi ! Pendant cinq ans, j’ai été émotionnellement, comment dire... Brisée, parce que tu étais mort. Et contre toute attente, la dernière personne que j’imaginais apte à me faire ouvrir mon cœur, l’a fait !
Sur ces dernières paroles Oliver fait une bise sur la joue à Laurel.
OLIVER : ça me fait plaisir. Je suis heureux pour vous.
LAUREL : Merci !
Laurel retourne vers Tommy et Oliver semble chercher quelqu’un. Il monte à l’étage et frappe à la porte de la chambre de sa sœur. Celle-ci se trouve en compagnie de son copain. Quand Oliver ouvre la porte Théa, Shane se rhabille. Oliver semble n’être pas content.
OLIVER : Théa. J’ai quelque chose à te dire.
THEA : Oliver !
OLIVER : Tire-toi de là. En s’adressant à Shane.
THEA : Qu’est-ce que tu fais ?
OLIVER : C’est marrant. J’allais te demander exactement la même chose. Parce qu’il y a une fête qui a lieu en bas. Une fête que j’ai organisée pour toi.
THEA : Non ! Je t’avais dit que je ne voulais pas de cette fête. Mais tu t’en foutais ! Parce que monsieur s’est mis à avoir la nostalgie de Noël. J’essaie de t’encourager à te confier à moi depuis des mois. Cette soirée, ne sert qu’à une chose, faire remonter des souvenirs que j’essaie d’oublier !
OLIVER : Théa ! Pourquoi tu veux oublier ces souvenirs ?
THEA : Ta fête aura beau être la plus somptueuse qui soit, les choses ne pourront plus jamais être comme avant dans notre famille. Plus jamais ! C’est clair !
Diggle arrive.
DIGGLE : Oliver ?
OLIVER : Qu’est ce qui se passe ?
Diggle lui fait alors signe de venir avec lui. Les deux personnes vont alors dans une autre pièce ou Diggle allume la télévision.
DIGGLE : L’autre archer est passé à la vitesse supérieure. Il a pris des gens en otages. Ils viennent de le dire aux infos.
UNE FEMME OTAGE A LA TV : Bonne fête de fin d’année à Starling City. Depuis ces trois mois, la ville est assiégée par un tueur. La police n’a pas été capable de le traduire en justice parce qu’elle n’a pas la volonté de faire ce que la justice réclame. Je tuerais un otage toutes les heures au nom de ce tueur, jusqu'à ce qu’il s’en remettre à mon autorité.
DIGGLE : La police est sur les lieux. Tu devrais les laisser gérer ça !
OLIVER : Ces gens sont là-bas à cause de moi ! Je dois intervenir !
DIGGLE : Oui, mais attention, ce type...Ce type est très dangereux.
OLIVER : Il n’y avait rien sur l’île qui n’était pas deux fois plus dangereux que cet imposteur et j’ai réussi à survivre là-bas pendant cinq ans.
[FLASHBACK SUR L’ÎLE]
Fyers est toujours prisonnier de Yao Fei et d’Oliver. Yao Fei met en route le Talkie-Walkie et l’apporte devant la bouche de Fyers.
YAO FEI : Appelle tes hommes et dit leur d’amener l’avion.
FYERS : Ce n’est pas la peine Yao Fei. Mes hommes vont arriver dans peu de temps. Ça t’aurais bien arrangé de m’avoir capturé aussi facilement, hein ?
YAO FEI : Part ! Dit-il à Oliver.
OLIVER : Quoi ?
YAO FEI : Cours !
Un combat s’engage entre Yao Fei et un homme masqué. Oliver quant à lui, court au travers des arbres de la forêt alors que deux hommes sont à sa poursuite et tirent des coups de feu en sa direction. Yao Fei continu de faire face à l’homme masqué. Pendant ce temps Oliver cours toujours puis s’arrête prêt d’un arbre et scrute autour de lui. Lorsqu’il voit Yao Fei se faire assommer par les hommes de Fyers.
RETOUR AU PRÉSENT
Information télévisée.
Le présentateur Tv : Starling City attend avec inquiétude l’issue de cette prise d’otage. La police a tenté de pénétrer dans le bâtiment abandonné des Glades. Mais à la découverte des explosifs qui l’ont empêché de le faire. Pour le moment il n’y a aucun signe du justicier, tant dis que l’échéance approche.
Sur les écrans de la police, un robot de déminage roule en direction des explosifs.
LES POLICERS DE DEMINAGE : Restez très vigilent. La zone est encerclée. Pour l’instant toujours rien. Je compte trois commutateurs. Chacun est relié à des charges de Semtex et fiole de mercure.
LE CHEF DE LA POLICE : Pouvez-vous en désamorcer un, pour que les sauveteurs puissent avoir un point de passage ?
POLICIER LANCE : ça va prendre des heures et après il va savoir par où on arrive.
LE CHEF DE LA POLICE : Si vous avez une meilleure idée, allez-y je vous en prie, c’est le moment !
Sur le toit un bruit se fait entendre lorsque le démineur regarde au-dessus de lui, il voit le justicier. Celui-ci casse une des fenêtres du bâtiment où se trouvent les otages et les libères.
ARROW : Il est où ?
UNE OTAGE : Je n’en sais rien.
ARROW : ça va bien se passer. Suivez-moi.
Les otages enfin libérés suivent Arrow.
ARROW : Montez sur le toit.
UNE DES OTAGES : Et vous ?
ARROW : C’est bon je m’occupe de lui. Dépêchez-vous !
POLICIER LANCE : Les otages ! Ils y a cinq otages sur le toit ! Je répète il y a cinq otages sur le toit !
Arrow est resté et cherche l’autre archer. Dans un couloir Arrow se retourne et voit l’archer à l‘autre bout.
L’ARCHER NOIR : Merci d’être venu ! Après l’entrepôt, je savais qu’il fallait que je fasse quelque chose de spectaculaire pour attirer votre attention.
ARROW : Qu’est-ce que vous attendez de moi ?
L’ARCHER NOIR : Ce que tout archer veut ! Voir qui est le meilleur !
Les deux hommes commencent à s’affronter. Les flèches des deux archers fusent un peu partout. Arrow, c’est retranché en haut d’une poutre de l’entrepôt. L’archer noir le cherche, jusqu’au moment où, sur un éclat de verre, il voit le reflet d’Arrow. Il tire alors une flèche qui désarme Arrow et la deuxième l’atteint le faisant tomber. Arrow récupère son arc et tire à son tour. L’archer noir se cache et Arrow le cherche. Il tire une flèche sans atteindre son but. Derrière lui se trouve l’archer noir qui lui tire deux flèches dans le dos, puis il le pousse avec un violent coup de pied qui fait s’écrouler une cloison de bois. Arrow est à terre, lorsqu’il se relève l’archer noir lui remet un autre coup de pied, lui faisant de nouveau traverser une cloison de bois. Arrow est à terre et l’archer noir, lui envoie un coup de poing et plusieurs coups de pieds dans le corps. Arrow cri à chaque coup qu’il les reçoit.
L’ARCHER NOIR : D’abord Hunt ! Puis Ravich ! Et maintenant vous ! Je suis au courant pour la liste ! Et l’homme qui l’a écrit veut votre mort ! On vous appelle la capuche ! Voyons voir de quoi vous avez l’air ?
Au moment où l’archer noir veut voir le visage d’Arrow, celui-ci lui plante une fléchette dans la cuisse droite et lui assigne un coup de poing, l’archer noir tombe au sol et Arrow s’enfuit. Il arrache les deux flèches qu’il a reçue dans le dos à l’aide du mur, ce qui le fait hurler de douleur, puis il saute par une fenêtre et tombe sur une benne à ordure. Il avance lentement, mais s’écroule quelques instants plus tard. Il demande alors de l’aide à Diggle, avant de s’évanouir.
ARROW : Dig, aide-moi...Vite. Aide-moi…
HÔPITAL DE STARLING CITY
CHAMBRE D’OLIVER.
Oliver est endormi, lorsqu’il se réveille Diggle est auprès de lui.
Oliver : Aahhh.
DIGGLE : ça va calmer toi. Calme-toi. Calme-toi. Tout va bien, tu es à l’hôpital.
OLIVER : Ahhh... Qu’est ce qui s’est passé ?
DIGGLE : J’ai retrouvé l’origine de ton signal. Je t’ai nettoyé et je t’ai amené ici. Tu as un pneumothorax, trois côtes cassées, une commotion cérébrale. Mais les médecins disent que tu vas t’en remettre. On est venu te rendre visite.
Oliver soupire
OLIVER : Qui ?
Moira, Thea, Walter arrivent vers Oliver.
MOIRA : Comment tu te sens mon chéri ?
THEA : Tu es dans un état lamentable.
WALTER : Dieu merci tu portais un casque.
Oliver regarde alors Diggle.
DIGGLE : Je leur ai appris que vous étiez à moto et qu’un camion avait pillé juste devant vous.
MOIRA : Enfin qu’est-ce que tu faisais dehors ?
THEA : Tu t’es tiré de ta propre fête.
OLIVER : J’ai eu besoin de le faire. Je pense que comme tu l’as dit, plus rien ne sera jamais comme avant.
THEA : (soupirant avant de répondre) D’accord, mais quand je disais ça, c’était simplement pour être méchante.
MOIRA : Non. En vérité je crois qu’aucun de nous étaient au mieux de sa forme.
WALTER : Le fait est que tu voulais une fête pour nous aider à nous rapprocher, et bien c’est réussi.
Tous souris, même Oliver, dont la douleur réapparait.
OLIVER : Aahh...
MOIRA : On va te laisser te reposer un peu.
Moira fait une bise sur le front de son fils. Moira et Walter quittent la chambre, laissant Thea avec son frère.
THEA : Alors ? On n’est même pas arrivé au moment de l’échange des cadeaux.
OLIVER : Je ne suis pas sûr que je mérite un cadeau.
THEA : Je voulais de dire. Je me rends compte que j’ai été dur avec toi, sur le fait que tu es différent de comment tu étais. Mais il faut que tu saches que, je ne suis pas non plus la même personne que j’étais il y a 5 ans.
OLIVER : Alors peut-être qu’il faudrait que l’on s’accepte, l’un et l’autre. Pas comme ceux qu’on était avant. Mais comme des personnes qu’on est devenu.
THEA : Ouais.
Thea sort des sucres d’orges.
OLIVER : Oh... Pas de triche. Ok!
THEA : Ok !
OLIVER : Approche !
Oliver prend dans ses bras sa sœur pour un câlin.
STARLING CITY LA NUIT
L’archer noir rentre chez lui en boitant. Il enlève sa capuche et nous découvrons le visage de l’archer noir qui n’est autre que Malcolm Merlyn.
QUEEN CONSOLIDATED
Walter est au téléphone avec Felicity.
WALTER: Merci, Felicity, c’est gentil d’avoir appelé. Ça va Oliver va s’en sortir. Il va déjà beaucoup mieux.
VOIX OFF DE FELICITY : Heureusement. Je suis ravie de l’entendre.
WALTER : Je monte dans un assesseur. Alors ça va peut-être couper. Je vous rappelle tout de suite. "Bonsoir " en s’adressant à un homme qui est dans l’ascenseur.
Lorsque la porte de l’accesseur se referme, l’homme qui est avec lui, le neutralise en lui injectant un sédatif dans le cou
STARLING CITY
Dans une rue, Moira est avec Malcolm
MALCOLM : C’est fait.
MOIRA : Je ne veux pas qu’il soit blessé.
MALCOLM : Et il ne sera pas au courant de votre implication. Vous avez ma parole.
MOIRA : Pardonnez-moi si je ne trouve pas ça très rassurant.
MALCOLM : Je vous avais prévenu. Je vous avais dit de mettre Walter sous contrôle et vous ne l’avez pas fait. Des mesures devaient être prises.
MOIRA : C’est ce que vous avez dit pour justifier le meurtre de Robert ! Et vous vous demandez pourquoi je ne vous fait pas confiance.
MALCOLM : Jugement un peu déplacé de la part d’une femme qui a fait kidnapper et torturer son fils.
MOIRA : C’était pour vous prouver qu’Oliver ne savait rien. Quelle importance çà a maintenant ! Ce qui est fait est fait !
MALCOLM : Non Moira. Ça ne fait que commencer. Dans six mois la vision de l’organisation de ce que cette ville devrait être, sera enfin accomplie.
MOIRA : Et ça ne vous feras strictement rien ! Des milliers de personnes innocentes seront mortes et vous ne ressentirez rien !
MALCOLM : Non, c’est faux ! Je ressentirais une immense satisfaction et vous récupèrerez Walter.
Sur ces dernières paroles Malcolm s’en va en voiture et laisse Moira seule dans la rue.
STARLING CITY
CHAMBRE D’OLIVER.
Diggle est assis non loin de la porte d’entrée de la chambre. Oliver s’est levé de son lit et regarde par la fenêtre.
OLIVER : Tu sais Dig, quand j’affronte une personne de la liste. Je lui dis toujours une chose « Qu’elle a trahie notre ville. » Mais ce soir c’est moi qui ai trahie.
DIGGLE : Oliver ! Cinq Otages sont chez eux à profiter des fêtes en famille. Grâce à toi. Ce type, l’autre archer, il aura son compte. Tu vas te charger de lui.
OLIVER : On pourrait avoir un autre problème. L’autre archer m’a dit qu’une certaine personne avait composé cette liste. J’ai toujours été persuadé que c’était mon père. Mais si jamais ce n’était pas le cas ?
DIGGLE : Comment ça ?
OLIVER : Je pense qu’il y a une autre personne à retrouver. Une personne qui a mon avis est plus dangereuse encore que cet archer. Et j’utiliserais tous les moyens pour éliminer cette autre menace.
FIN